Lois H. Gresh

Connaissez-vous la petite ville d'Innsmouth ?

Créée par l'écrivain Lovecraft, cette ville fictive située dans le Massachusetts ne figure pas sur les circuits touristiques, puisqu'il s'en dégage continuellement une odeur abominable de poissons pourris, qu'elle est habitée par des créatures qui n'ont plus rien d'humain, que la nuit, des silhouettes informes entrent ou sortent des flots visqueux et font régner une ambiance aussi poisseuse que terrifiante.

C'est dans cette petite ville que Sherlock Holmes et le docteur Watson vont devoir se rendre afin de terminer ce qu'ils ont commencé dans les deux volumes précédents de cette trilogie horrifique, qui mêle l'univers de Conan Doyle et celui de Lovecraft.

L'intrigue est palpitante, puisque des créatures venues d'une autre dimension s'apprêtent à revenir sur terre, la ville est immonde et l'auteure la décrit à merveille, on sent presque les relents avariés de restes de poissons et d'excréments, et on sent la substance gluante qui recouvre tout le village, comme si on la touchait.

Il faut avoir lu les deux premiers tomes, sinon, on ne comprendra rien à l'histoire, qui est complexe et dont les protagonistes sont nombreux.

J'ai adoré ce mélange des genres et pour ceux qui ont lu le roman de Lovecraft qui se passe dans cette ville, on la retrouve parfaitement.

Encore une série qui mêle habilement l’univers de Sherlock Holmes et celui de Lovecraft.

Ce roman est le deuxième tome d’une trilogie, et si vous n’aimez pas rester sans réponse à la fin d’un roman, je vous conseille d’attendre que le troisième volume soit paru pour lire l’ensemble, car là encore, on reste sur notre faim à la fin du second volume.

Dans le premier tome, on était témoin de meurtres aussi abominables qu’étranges, on découvrait des amas d’os bizarres, des meubles aux étranges pouvoirs et une machine infernale.

Dans ce volume Sherlock et Moriarty, son ennemi de toujours, sont tous les deux à la recherche d’une femme monstrueuse qui est sur le point d’accoucher, la Tamise va être envahie par des créatures infernales, des actes odieux vont être commis dans un célèbre hôpital pour malades mentaux, et une épidémie va s’abattre sur les habitants de Londres, allant même jusqu’à contaminer le docteur Watson.

Ce second tome est haletant, mais il faut vraiment avoir lu le premier pour s’y retrouver dans l’intrigue et les personnages.

Un excellent roman pour les amateurs d’enquêtes de Sherlock Holmes et les fans de l’univers glauque et malsain de Lovecraft.

Cette fois-ci, c'est terminé, le troisième tome ne sera pas lu par moi ! La coupe est pleine, n'en jetez plus…



La lecture du premier tome avait déjà été en dents de scie, celle du deuxième fut une catastrophe sans nom, faite de soupirs et de sauts de pages.



Si dans le premier tome j'avais apprécié les 200 premières pages, ici, je ne saurais dire combien de pages j'ai vraiment appréciées… Celles consacrées au final, ce qui ne fait pas énormément de pages !



Qu'est-ce qui m'a bloqué dans ma lecture ? Je ne saurais trop le dire. L'auteur n'écrit pas comme un pied, il y avait de la logique dans sa narration, ce n'était pas erratique.



Les personnages de Holmes et Watson, vus par l'auteur, ne m'ont jamais emballés, mais c'est une histoire de goût.



Pour tout dire, je me suis ennuyée dans le récit, rien ne trouvait grâce à mes yeux et ce fut donc laborieux d'arriver à la page 100. Après, je ne me suis plus embarrassée avec les scrupules, j'ai tracé la route jusqu'à l'affrontement final avec une sale bête et puis basta, j'ai refermé le livre et je ne perdrai pas mon temps à lire le troisième et dernier opus.



Autant où la trilogie consacrée à Holmes vs Cthulhu de Lovegrove était montée en puissance au fil des tomes, autant celle-ci fait le contraire. Si le premier tome de l'autre trilogie ne m'avait pas emballé, les deux autres oui et j'avais terminé cette trilogie contente.



Ici, on part dans l'autre sens : ça commence moyen puis ça s'enfonce, alors, je n'ose imaginer pour le dernier tome !



Bah, sans rancune, ce n'était pas pour moi, j'ai assez de livres dans ma PAL pour m'offrir des frissons littéraires.



Je dois encore couver un virus littéraire parce qu'avec mes dernières lectures, c'est où ça passe (et donc, j'adore) ou ça casse et je passe royalement à côté. Pour le moment, pas d'entre deux, c'est tout ou rien.


Lien : https://thecanniballecteur.w..

Sous-titre : De Carrie à Cellulaire, la terrifiante vérité derrière la fiction du maître de l’horreur.



Si la marque de Stephen King est l’horreur, les ressorts de cette dernière ne sont pas (que) des monstres sanglants, mais des sciences qui ont dégénéré, donnant des personnages inquiétants et dérangeants ou encore des machines animées de sombres intentions envers les hommes. « Avec Stephen King, l’humanité profite rarement de la science. » (p. 8) Les pouvoirs psychiques de Carrie ou Charlie sont terrifiants, tout autant que le comportement haineux de Christine, bagnole démoniaque, ou d’une presse à linge qui broie les ouvriers.



Les deux auteurs remontent aux sources de bien des théories : télékinésie, extraterrestre, intelligence artificielle malveillante, voyage dans le temps ou super-virus qui décime l’humanité, Stephen King n’a rien inventé, mais il a su faire à sa main les grandes terreurs humaines nées de la science pour les rendre profondément modernes et, par conséquent, bien plus terrifiantes. « Dans tous ses livres, il pose la question universelle : que se passerait-il si ? » (p. 50) Ses sources et ses inspirations sont nombreuses, et il sait glisser des références et des clins d’œil dans ses œuvres, prouvant ainsi son érudition et son intelligence.



Pour apprécier cet ouvrage, il est évident qu’il est préférable d’avoir lu un certain nombre des textes de Stephen King, de Carrie à La tour sombre, d’autant plus que les romans se répondent entre eux et forment un gigantesque puzzle narratif, un impressionnant univers littéraire. « Le plus grand talent de Stephen King est sa capacité à mélanger l’horrible à l’ordinaire. Ses romans, comme ses nouvelles, mettent en scène des gens normaux, comme vous et moi, qui rencontrent le bizarre, l’étrange et le monstrueux. » (p. 6) Preuve irréfutable avec Cujo : le gros saint-bernard autrefois débonnaire qui terrorise tout le monde lors d’un épisode caniculaire a simplement été mordue par une chauve-souris enragée. « King et Alfred Hitchcock partagent cette habileté de nous faire peur par la psychologie au lieu de mettre en scène des monstres ou de montrer du sang. » (p. 222) Pourquoi a-t-on peur de Cujo ? Parce qu’il est follement agressif, parce qu’il empêche une mère et son enfant de quitter leur voiture sans climatisation exposée en plein soleil, parce que ce qui aurait dû être une journée tranquille dans une petite ville devient une fournaise interminable.



Cet ouvrage n’est pas inintéressant, mais il souffre de quelques faiblesses, à se demander si les auteurs ont lu attentivement les romans dont ils parlent puisqu’ils les résument au mieux grossièrement, sinon avec des erreurs. En outre, certaines théories et conclusions sont hâtives et, selon moi, un peu bâclées. « Lisez n’importe quel livre de Stephen King pour observer la méfiance de l’humanité et la haine de l’étranger. C’est peut-être pour cela que les livres de Stephen King sont si populaires. Ils jouent sur nos peurs les plus profondément ancrées et notre terreur collective de l’inconnu, y compris des étrangers. » (p. 106) Ce n’est pas faux, mais les auteurs semblent méconnaître l’importance de l’amitié, de la famille et de la communauté. Certains héros de Stephen King sont curieux, courageux et ouverts au monde, même si la confrontation avec des forces malveillantes les oblige à se protéger. « Comme la science chez Stephen King est un mélange de science et d’horreur, il part du principe que les étrangers seraient forcément hostiles. » (p. 96)



Un autre reproche que je fais à cet ouvrage est de présenter des sujets scientifiques très complexes, comme la théorie des cordes ou les trous de ver. C’est certes passionnant, mais ça ne sert pas vraiment le propos du livre. Pire, les auteurs tentent à toute force de rattacher les romans de Stephen King à ses théories. Parfois, c’est crédible, parfois, c’est manifestement tiré par les cheveux… La conclusion est intéressante en ce qu’elle ramène au fonds de commerce de Stephen King, à savoir foutre les chocottes à ses lecteurs, mais elle ne dit rien du postulat des deux auteurs de l’essai : quid de la science ? Plus rien. « Il vaut mieux se permettre certaines peurs, comme celles de chiens tueurs ou de rôdeurs psychotiques. Si nous faisons disparaître la peur, comment pourrons-nous combattre Ça ou Les Tommyknockers ? » (p. 238)



Bref, cet essai n’est pas dénué d’intérêt, mais à lire avec circonspection et en connaissant un peu son King. Moi, fan ? Si peu…

Bonjour,je me rappelle que l'on m'avait offert ce livre à l'époque ou je lisais les livres de Stephenie Meyer, je ne l'avais pas ouvert depuis et à l'occasion d'un rangement je l'ai ressorti.

Je ne sais pas à quoi je m'attendais en l'ouvrant : un approfondissement du mythe du vampire...? En tout cas pas à ça !!!

Je n'aime pas dire du mal d'un livre ,mais je n'arrive pas à trouver une bonne chose, peut-être la couverture ou le défi d'écrire 250 environ de vide. Je ne pense pas être le public visé et cela me fait peur de penser que certaines personnes pourrait l'apprécier.

Soit l'auteure est une lycéenne vraiment fanatique, soit comme je le pense c'est un livre de commande et elle se moque bien des lecteurs.

Lois H. Gresh et Robert Weinberg passent au crible de la science les étonnants pouvoirs des super-héros des comics américains. Chaque chapitre commence par une introduction historique. Un recueil intéressant dans la même veine que les livres de Roland Lehoucq.

Contrairement à ce que le titre laisse penser, il est très peu question des romans de Stephen King ici. Ce sont les thèmes abordés par King qui sont étudiés : d'abord les auteurs présentent un concept (extra-terrestre, vie éternelle, etc) et la façon dont il a été traité dans la littérature, chez King et d'autres, puis ils l'étudient d'un point de vue scientifique. J'ai beaucoup appris, sur le fonctionnement du cerveau humain en particulier, ou encore les trous noirs. Certaines explications sont assez ardues, mais dans l'ensemble j'ai (presque) tout compris !

Il y a beaucoup de références littéraires, du coup je me retrouve avec une nouvelle liste de romans (de sf en particulier) que j'ai très envie de lire.

Troisième et dernier recueil de nouvelles dans l'univers de The X-Files, ce sont 15 nouvelles histoires qui s'ajoutent à l'univers étendu de la série télévisée. Comme pour les anthologies précédentes, sont précisées entre parenthèses l'année où se déroule l'intrigue, pour la resituer vis-à-vis de la chronologie de la série télévisée :



« Seek and you will find » (2000)

La disparition d'un enfant va, une fois de plus, raviver le traumatisme vécu par Mulder durant son adolescence et le mener vers un monde parallèle. L'idée quant à l'accès vers cet autre monde est intéressante. le reste est plus commun comme la mise en avant des différences entre les mondes. Toutefois, le format court ne permet qu'une exploration survolée de la situation.



« Perithecia » (1996)

L'idée de cette histoire trouve son origine dans la faune et la flore. L'ophiocordyceps est un champignon qui parasite les fourmis pour se reproduire. En modifiant le comportement de l'hôte, le champignon pousse la fourmi à quitter son nid pour un environnement plus propice au développement du champignon. A l'endroit propice, la fourmi s'i,stalle jusqu'à sa mort. le champignon se développe à travers le corps de son hôte et dispersé de nouveaux spores pour poursuivre le cycle parasitaire. Ne reste qu'à imaginer une expérience gouvernementale à l'échelle humaine pour créer un X-Files plutôt intéressant, en tout cas éducatif.



« Give up the Ghost » (1998)

La nouvelle que j'ai le moins apprécié dans ce recueil. L'auteur se concocte un petit délire où il rencontre les personnages, où le complot est enfin révélé au grand public et où tout part en vrille. C'est particulier, faut aimer le concept et le ton.



« Transmissions » (1996)

Une enquête des plus classiques concernant une série de meurtres : des familles exécutées par le père. Un récit qui se rapproche de tous ces épisodes où la paranoïa entre en jeu avec cette fois l'idée d'une influence voulue au travers d'une installation satellite.



« Desperately seeking Mothman » (1998)

Un récit plus orienté « monster of the week » autour d'une légende irlandaise à la sauce X-Files.



« Love Lost » (2015)

Scully croise un amour de jeunesse dans un aéroport. Qu'y-a-t-il d'étrange dans cette rencontre ? Il apparaît tel qu'il était le jour de sa disparition, une trentaine d'années plus tôt… Une enquête très personnelle qui vient étoffer la vie intime de l'équipière de Mulder.



« Thanks and Praise » (2012)

Un texte un peu à part dans ce recueil puisqu'il sert de prequel aux comics imaginées par Joe Harris. Également auteur de ce récit, il met en scène le nouveau complot qui ramène le duo Mulder et Scully sur la quête d'une vérité étouffée pour des saisons 10 et 11 désormais hors canon. Bien avant le retour de la série télévisée, Chris Carter avait permis à son univers de se poursuivre au format comics.



« Border Time » (1995)

Une enquête à la frontière mexicaine, côté texan, à propos de jeunes femmes retrouvées mortes. Un témoignage à propos d'extra-terrestres à l'origine des enlèvements attire le duo.

Un récit qui puise dans la mythologie des « X-Files » en y ajoutant de nouveaux éléments. Dommage que la guest-star en la présence du « Bounty Hunter » ne fonctionne pas très bien. En effet, difficile d'obtenir le même effet à l'écrit avec l'un des visages les plus mythiques et reconnaissables de la série…



« A Scandal in Moreauvia » (1995)

De son titre à son traitement, cette nouvelle s'inspire de et rend hommage à l'archétype du détective : Sherlock Holmes. Retrouvaille avec un des personnages de l'épisode 12 de la saison 1 (Fire), à savoir Phoebe Green.

Presque deux ans après, la réunion est entâché par l'amertume et la défiance. D'autant que le duo à l'impression d'être attiré dans un piège en plein Dartmoor, sur les traces d'un trop évident « chien de Baskerville ».

Une enquête à l'international qui anticipe, chronologiquement parlant, les nombreux éléments de la mythologie hors sol américain qui viendront étoffer le complot et les manigances du Syndicat.une enquête également bien rapide…



« Stryzga » (1994)

Un camp d'été se prépare pour sa ré-ouverture prochaine au coeur d'une profonde forêt de Pennsylvanie. Tout se déroule pour le mieux jusqu'à ce qu'une des monitrices trouve la mort. le duo d'enquêteurs quitte le sous-sol du FBI pour une enquête autour de ce qui ressemblerait à l'attaque d'une créature du folklore slave.



« An Eye for an Eye » (1994)

Plusieurs victimes sont admises à l'hôpital, à quelques jours d'intervalles, dans le New Jersey. Toutes ont vu l'un de leurs yeux être chirurgicalement retiré et aucune n'a le moindre souvenir de l'agression. Qui ou quoi collectionne ainsi les yeux ? Et pourquoi ?



« Kanashibari » (1993)

Une de mes nouvelles préférées. Mulder et Scully partent pour l'étouffante Californie où plusieurs personnes appartenant à la communauté japonaise ont trouvé la mort dans leur sommeil. Les témoignages ante-mortem relatent les attaques d'une créature alors que les victimes semblent paralysée dans un état de demi-sommeil. Entre psychiatrie moderne et croyance ancestrale, l'histoire explore cette fois le folklore japonais.



« All Choked Up » (1996)

Un corps est retrouvé dans un lieu clos comme étouffé par un boa. Une autre victime, sans lien apparent, est retrouvée dans un état similaire. Une enquête peu enthousiasmante dans l'ombre de l'Homme à la Cigarette, figure incontournable des X-Files. Quand les auteurs s'attaquent de trop près à l'épine dorsale de la série télé, ça n'est que rarement efficace.



« Along the Scenic Route » (1995)

Alors que Mulder et Scully sont sur la route du retour après une enquête, ils décident de s'arrêter dans une petite ville de Caroline du Nord pour se dégourdir les jambes et manger un bout. A peine garer, ils assistent de loin à un accident. le chauffeur clame avoir vu la victime se transformer en serpent… Intrigués par l'évènement et les témoignages, le duo décide de rester plus longtemps dans la région.



« GrandMother Black Hands » (2002)

Pour la quinzième et dernière nouvelle, Mulder et Scully suivent les traces de Kit Carson et du capitaine William Grier dans une réserve amérindienne, en Arizona. Kit Carson est un personnage controversé de l'histoire américaine et la présente nouvelle mêle légende, faits historiques et fiction pour mettre en scène une malédiction apache suite à un massacre perpétré au 19ème siècle. La nouvelle intègre notamment l'épisode qui marqua Kit Carson alors qu'il est confronté à son propre mythe sous la forme d'un roman le héroisant. Un roman non loin du corps d'Ann White, mère de famille kidnappée par des Apaches Jicarillas.



Ce dernier opus marque la fin d'une longue aventure aux côtés des agents Mulder et Scully. de nombreuses lectures (romans, comics, nouvelles), de nombreux visionnages des épisodes de la série et des films, y compris une intégrale pour rattraper l'ultime saison 11. D'ailleurs, ce revival aussi bien sur le papier que sur le petit écran fut inespéré. Une sortie des archives très probablement unique.

Petite déception



Un complément d’informations sur les livres de la quadrilogie de L’Héritage qui paraît intéressant du fait des explications données sur les divers peuples du cycle.



Malheureusement, l’auteure écrit avant la publication du troisième tome de la saga, de ce fait, elle imagine diverses choses qui n’auront pas lieu et même qui s’éloignent de l’esprit de création de Christopher PAOLINI. C’est bien dommage parce que je trouve que ça gâche le tout.



Après ce n’est que mon avis personnel, j’aimerais pouvoir lire d’autres avis avec peut-être des points de vue différents…

Le livre n'est pas mal, il apporte beaucoup de réponces.. Dommage, parfois inutiles.. J'ai quand même aimé. Je le conseil au fan de Hunger Games ;)

Je viens tout juste de terminé ce livre qui est un mélange entre H.P. Lovecraft et Sherlock Holmes. J'ai un sentiment mitigé face à cette lecture, trop de point de vue, Ppurtant, je suis un fan du personnage mais je n'ai pas vraiment aimé ma lecture. Peut-être parce que j'ai la tête ailleurs récemment. si vous le trouver meilleur fait-en une critique car je ne fut pas très inspirer.

Lien : http://books-story.skyrock.c..

Ce guide est loin d'être indispensable même s'il nous apprend certaines choses sur les vampires dans la littérature mais pas sur la saga; c'est un premier point négatif. Le deuxième point négatif est que d'avance j'ai été déçu par la saga en général et qu'après cette lecture, je le suis encore plus. Le seul point positif est que ce guide m'a convaincu ce qui est assez étrange de ma part
Lien : http://leschroniquesdemilie...

J'avoue qu'avant de l'avoir commencé j'ai été faire ma curieuse sur les blogs qui l'avaient lu (en tout il y en a deux, enfin ceux que j'ai trouvé) et les retombées étaient loin d'être élogieuses. En voyant ça, je me suis dis qu'une fois de plus j'allais m'ennuyer voire même fermer le livre pour en commencer un nouveau.

Puis j'ai pensé qu'après tout il fallait que je me fasse ma propre opinion et je l'ai ouvert. Finalement ça a été une surprise plutôt positive. En voyant le titre « Tout l'univers de Twilight » on s'attend à ce que les 254 pages du livre ne parle que de cette saga. Et bien non, l'auteure parle un peu de tout ce qui touche au domaine des vampires. Que ce soit sur les vampires de Anne Rice ou encore de Bram Stocker l'auteur de Dracula.

Tout le long du bouquin elle nous éparpille par-ci, par-là des explications intéressantes que moi-même je ne connaissais pas n'ayant jamais lu les deux auteurs précédemment cités. Ce qui a fait évoluer ma culture générale (bon un petit peu). Mais j'ai trouvé cela très bien de sa part.

Malgré cela, quelques points négatifs m'ont fait tiquer lors de ma lecture. Tout d'abord, au début du livre elle ne cesse de s'identifier au personnage de Bella Swan ce qui, à force, devient barbant. D'accord, Bella est un personnage très intéressant et important dans l'histoire et on peut en être fan, mais au point de tout le temps dire « si moi j'étais à sa place... » il y a des limites. La saga Twilight reste quelque chose d'inventé et donc pas réel. Le personnage de Bella, ainsi qu'Edward et Jacob, n'existe pas et n'existera jamais.

Le second point négatif est les quiz qu'elle insère dans le texte. Je les ai trouvé tout simplement inutiles et barbants à lire. Surtout le dernier (le chapitre 18) qui fait au moins une dizaine de pages, peut-être plus je l'ai boycotté. On dirait qu'elle a écrit ces quiz pour étoffer le livre et pour qu'il paraisse plus gros. Hors ce n'était vraiment pas utile ! En plus de ça, les questions sont du grand n'importe les quoi et les réponses encore pires... Peut-être allez-vous me trouver méchante mais si vous avez l'occasion de lire ce livre vous constaterez que j'ai raison (sauf si vous êtes un(e) fan inconsidéré(e) de Twilight...)

En bref, un livre qui est intéressant de part les petites explication qu'elle y insère et aussi de l'humour qu'elle y incorpore.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..

g trop hate de le lire