Lois Lowry

"Voir au-delà d'un monde parfait" - Ça a suffit à me faire acheter Le Passeur, 1er tome du Quatuor écrit par Loïs Lowry. Écrivaine américaine connue aussi pour la série Anastasia Krupnik.

L'auteure, à travers un monde dystopique mêlé à un soupçon de fantastique, nous pousse à la remise en question sur notre vie et nos certitudes. On s'attache aux personnages qui se trouvent tous à un tournant décisif de leur vie et doivent faire des choix difficiles.



Tous les tomes sont liés tout en ayant chacun leurs propres histoires pour finalement se recouper dans ce dernier tome qui offre une vision éclairée sur le sort final des protagonistes.

C'était une lecture émouvante où toutes les pièces du puzzle s'assemblent et les souffrances des personnages prennent un sens.

J'ai eu mal au cœur au moment de fermer le livre ^^

L'auteur est capable de créer un monde dystopique/dystopique.

De plus, il s’agit de la première dystopie du genre dans la littérature jeunesse. La première dystopie a été écrite par George Orwell en 1984.

L'univers est détaillé, mais pas trop détaillé. En fait, cette communauté a une fonction particulière, c'est une société bien organisée, chacun a sa place et les émotions et les sentiments n'existent pas.

Le rythme du roman est captivant et nous sommes captivés par l'évolution du protagoniste et d'autres individus inchangés. Le contraste est assez saisissant. Son évolution se démarque de la stagnation des autres personnages. On ressent les émotions de Jonas, ses peurs... Au fil de sa découverte, et de l'évolution de son envie de découverte, il devient touchant et attachant, et dès le début du roman, notre sentiment d'attachement à son égard est aussi devenant de plus en plus fort. Plus le roman avance, plus le rythme s’accélère, jusqu’à la fin.

Cependant, la fin nous donne envie d'en savoir plus... elle est tournée de manière à laisser place à la réflexion sur le résultat... elle est laissée à la libre interprétation.

En ce qui concerne la dystopie elle-même, je trouve qu’elle nous fait un peu réfléchir aux conséquences possibles de l’effacement des différences de chacun. En fait, dans cette société, tous les individus sont identiques et les couleurs n'existent plus, justement pour éviter des émotions comme la jalousie, l'envie, l'amour... Selon cette dystopie, ces émotions non seulement poussent les humains à se détester, à s'entre-tuer et à s'entre-tuer. autres.

Mais c'est dans ce roman que l'on voit ce qu'apporterait l'élimination de ces différences : une vie monotone, sans folie, sans saveur... Est-ce vraiment ce que nous voulons vraiment ?



Le roman était controversé car il s’agissait d’une littérature jeunesse. Certaines personnes pensent que cela est inapproprié parce que les enfants ne peuvent pas en comprendre la signification.

Je me rappelle encore la première fois que j'ai lu ce livre. J'étais très jeune (dizaine d'années) et pourtant ce livre m'a profondément marqué.



Plusieurs années plus tard, quand je l'ai relu, je l'ai redécouvert avec le même plaisir.



Si vous êtes une personne assez sensible, alors il est possible que comme moi, ce livre vous touche au fond de votre coeur. Il pousse à se remettre en question, à analyser le monde et la vie qui nous entoure. C'est une remise en question de notre fonctionnement, de la morale et de nos idéaux.

J'ai découvert, comme beaucoup je pense, cette pépite au collège, puisqu'il figurait au programme de lecture en Français. Presque 20 ans plus tard, j'ai encore certains passages en tête, c'est un ouvrage qui m'a marqué à vie ! Si vous êtes passés à côté, n'hésitez pas à vous le procurer : ça se lit tout seul et c'est absolument captivant.

Un livre magnifique qui nous présente un monde utopique, peut-être pas si utopique et qui permettra peut-être d'apprécier notre monde et ses imperfections à leur juste valeur.

Le personnage de Jonas est très attachant et permet de s'interroger sur la valeur des choses.

Nous entrons pas ce roman jeunesse utopique dans une communauté où les individus sont formatés,où la douleur,les conflits et la faim n'existent pas.

Une société où les émotions de chacun sont inhibées et où des règles strictes sont à respecter pour le bien commun de tous.

A chaque âge sa cérémonie, jusqu'à l'âge de 12 ans où les jeunes gens se voient attribué leur futur métier dans la communauté.



Mais est-ce que ce monde parfait vaut vraiment la peine si tout ce qui fait de nous un être humain est mis sous cloche ?

Ce roman met en avant l'aliénation de la liberté, ses mécanismes et remet en question certains fonctionnements de notre propre société. Notamment lors de la crise sanitaire du Covid-19 où tous nos droits fondamentaux ont été bafoués avec une facilité déconcertante.

Cette utopie nous rappele que la limite peut-être vite franchie et l'endoctrinement facile, sous couvert de la protection d'autrui.

L'adaptation cinématographique de ce livre m'avait emportée, totalement enthousiasmée. Je ne suis pas une grande friande de dystopie, mais le film m'avait vraiment plu. Je devais donc lire le livre, et je ne suis pas déçue.



Cette société sans sentiments, sans erreurs, sans couleurs... Et puis Jonas, intelligent et pourtant bien ancré dans la communauté, qui découvre le fardeau qu'est celui de porter des souvenirs colorés, mais qui peuvent être destructeurs ; comme ceux de la douleur, de la guerre, du sang.



J'ai vraiment aimé ce livre qui est adapté à tous les âges et tous les goûts. Lois Lowry, à travers son roman, nous fait comprendre l'importance des sentiments, de la réflexion et de la chance que nous avons de voir les couleurs. La beauté des petites choses. Je le recommande vraiment à tout le monde.

A danish girl ellen and her jewish best friend anne marie during the second world war and the nazy invasion will try to escape nazys and ellen to hide her best friend. i really appreciate this story because i love war stories and because it is a part of our history. ( thomas )

J’ai beaucoup aimé cette lecture, Je n’avais pas encore compris que nous étions dans une communauté puisque je n’avais pas lu le résumé.

Nous sommes dans la peau d’un petit garçon qui a 12 ans et qui s’appelle Jonas un petit garçon. Très curieux étonnant pour lequel on développe un attachement, L’écriture est belle et bien développée. Nous rentrons facilement dans ce monde particulier. La communauté dans laquelle nous rentrons et très réfléchi, et "organiser". On n’y rencontre le passeur un sage, le seul sage de leur communauté. On y découvre aussi le monde réel le monde, comme il était avant leur communauté des générations avant à travers les souvenirs de ce sage.

Cela nous rappelle à quel point nous avons de la chance… cela nous rappelle à quel point le monde peut être autant bienveillant que cruel.

Cela nous rappelle, qu’il y a toujours pire ailleurs … Un livre qui fait réfléchir, qui fait grandir … En le lisant, on voit toute l'importance du libre arbitre !

Il y a peu, j'ai chroniqué un livre Jeunesse, Le Passeur de Lois Lowry. Un roman surprenant qui fait partie d'une tétralogie. Un roman d'anticipation mettant en scène un jeune garçon, Jonas, baignant dans une société "idéale", qui assure sécurité, bien-être, harmonie et paix à tous. Mais au prix de choix parfois douloureux, voire immoraux. Je ne veux pas trop en dévoiler, mais la fin est assez étrange. Les trois dernières pages tranchent avec le reste du récit et laissent planer plusieurs interprétations. J'y ai vu un choix poétique, mais j'ai été intriguée.

Je me suis donc plongée dans le tome 2, L'Elue (traduction Bee Formentelli) avec beaucoup de curiosité (mais il n'est pas certain que vous aurez les 4 chroniques, je suis une spécialiste pour m'arrêter à l'avant-dernier tome d'une série, comme avec Mécaniques fatales de Reeve (3 tomes sur 4 lus), Blackwater ( 4 tomes sur 5 lus), j'ai dû arrêter au tome 5 ou 6 de L'épouvanteur....🫣

Avec L'Elue, on ne sait pas très bien si le récit se déroule à la même époque, dans une communauté proche ou très éloignée de celle de Jonas. La société dans laquelle Kira évolue a survécu a une catastrophe, probablement nucléaire, liée à une guerre. Mais toutes les connaissances technologiques ont été perdues. Ainsi, le mode de vie de Kira est très proche de celle du Moyen-Age, et toute bouche inutile est condamnée à mourir sans état d'âme. Kira n'aurait pas dû grandir d'ailleurs, étant affligée d'un handicap à la jambe à sa naissance. Mais sa mère, veuve, s'est refusé à perdre son enfant. Devenue adolescente, Kira, a appris la broderie avec sa mère et fait preuve de dons exceptionnels. C'est ce qui la sauvera de la mort après le décès de sa mère. On lui donne alors une mission prestigieuse, une robe de cérémonie très précieuse à restaurer. Mais ce qui semble être son salut pourrait cacher de sombres secrets gardés par les seigneurs du village.

La question de la mémoire, et de l'importance de la conserver pour ne pas répéter les erreurs dans le futur traverse l'histoire, comme pour Le Passeur. Mais ici, beaucoup moins d'action (j'avais envie de secouer Kira parfois !), une pointe de surnaturel, une ambiance différente du Passeur. Le roman se lit vite, des indices relancent régulièrement notre curiosité. Mais j'ai trouvé cet univers beaucoup moins imaginatif. Par contre, les personnages sont approfondis et on s'y attache. Là encore, la fin laisse... sur sa faim. L'héroïne prend une décision surprenante mais compréhensible qui donne envie de savoir comment les choses se dérouleront à l'avenir. Une connexion entre Le Passeur et L'Elue se laisse entrevoir sans aucune certitude. Et du coup, je n'ai qu'une envie, lire le Messager pour voir si mon hypothèse se confirme !😅



Il se pourrait bien que la fin du Passeur prenne tout son sens en lisant l'intégralité de la tétralogie. Comment savoir ? Il faut aller jusqu'au bout ! Et c'est comme cela aussi que je me retrouve à finir des livres qui ne m'emballent pas. On ne sait jamais avant la fin si un livre ennuyeux ne va pas devenir un coup de coeur.... (bon, en vrai cela ne m'est arrivé qu'une fois... mais cela m'est arrivé 😀)

A certains moments, je ressens le besoin de me plonger dans ce que j'appelle "une lecture facile". Evidemment, j'ai ma définition toute personnelle de ce que cela recouvre. Bien sur, qui dit facile, dit rapide. Mais je n'accepte pas, pour autant, une écriture bâclée. Ben oui, cela doit être simple à lire MAIS bien écrit (le nom d'un personnage répété cinq fois dans le même paragraphe, c'est rédhibitoire pour moi par exemple, tout comme la répétition à la chaîne de phrases construites sur le modèle "sujet+verbe+complément, etc,) . Je trouve rarement mon bonheur du côté des best-sellers français actuels. Par contre, du côté jeunesse, je fais des découvertes intéressantes. Dernière lecture en date, Le passeur, premier tome d'une tétralogie, écrit par Lois Lowry, destiné (selon les sensibilités) aux adolescents ou young adults*. (traduction : Frédérique Pressmann)



Dans un lieu et à une époque indéterminés. Au premier abord, la communauté de Jonas, bientôt 12 ans, est idéale. Pas de violence, pas de famine, pas de chômage, une entente généralisée au sein de la population. La technologie est mise au service du confort des humains. Tout n'est qu'harmonie et joie. Enfin presque.

Car ce monde parfait a un prix, l'effacement de la mémoire collective et le gommage des différences, et de nombre d'émotions. Il est même possible que certains choix faits par les anciens soient plus que discutables d'un point de vue moral.

C'est ce que Jonas va découvrir à ses dépens. Tout commence pour le lui le jour de la cérémonie des 12-ans qui fête l'anniversaire de tous les enfants de cette catégorie d'âge. Une étape importante puisqu'il est alors révélé quelle profession chacun exercera. Un choix opéré par les anciens après avoir observé longuement les habitudes des enfants. Jonas, de par son sexe, échappera à la peu enviée fonction de reproductrice. Mais sera-t-il ingénieur, ouvrier, nourricier... ? Vers quelles découvertes sa formation le conduira-t-elle ?



Si ce roman souffre de quelques faiblesses narratives, j'ai apprécié la trame et la conduite du récit qui saivent préserver habilement le suspens. J'avoue que j'ai dévoré ce livre en une soirée, ce qui m'a coûté un coucher (trop) tardif ! Il y a une réelle profondeur dans les thématiques abordées : bonheur individuel et collectif, individualisme, eugénisme, liberté... Anticipation, science-fiction et poésie se mêlent pour faire de cette histoire un joli roman. A tel point que j'ai déjà prévu de lire le tome 2 : L'élue. Chronique à suivre prochainement.

* personnellement, je pense ce livre accessible dès 12 ans, mais certains sujets autour de la mort heurteront peut-être les plus sensibles.

Messager est le troisième tome de la tétralogie jeunesse de Lois Lowry, traduit par Agnès Desarthe. Côté style, toujours la même qualité. Côté récit, l’imagination de l’autrice se déploie et les fins des deux premiers tomes qui pouvaient laisser dubitatifs prennent une autre dimension. On y apprend ce qu’est vraiment devenu Jonas, le jeune garçon du premier tome Le Passeur (pour ne pas dévoiler des éléments de l’intrigue, je n’en dis pas plus).

Le personnage central de ce roman est Matty, le jeune ami de Kira dans L’Elue. Le petit garçon a grandi et a trouvé refuge dans Village, un havre de paix et un refuge pour tous ceux qui cherchent un asile. Le polisson est devenu un garçon réfléchi et serviable qui connaît Forêt comme sa poche et se charge souvent de délivrer des messages. Mais le bonheur de Matty est menacé. Des changements subtils et inquiétants transforment l’atmosphère de Village et le caractère de ses habitants. La générosité fait place à l’hostilité vis-à-vis des étrangers qui arrivent. De son côté, Forêt devient menaçante. Matty cherche à préserver son univers tout en voulant ramener Kira à Village.

Le seul bémol que j’ai envie de faire, c’est le manque de personnages féminins forts et positifs. Kira accomplit de grandes choses, elle participe activement à transformer positivement sa communauté mais cela se déroule entre le tome 2 et 3 et n’est pas développé.

On retrouve ici un univers plus fantastique que dans le second tome L’Elue. La construction de cette tétralogie et de chaque roman est imprégnée de poésie et elle a un côté imprévisible, loin des schémas que l’on peut rencontrer dans beaucoup de succès jeunesse. Cela peut être déstabilisant, surtout pour les deux premiers titres mais j’apprécie beaucoup ce parti pris qui ménage des surprises.



En conséquence, je suis bien partie pour lire le dernier livre Le fils !

Un roman très touchant et qui montre la réalité des choses.



La relation des deux sœurs m'a vraiment touché et j'ai vraiment été ému à la fin lorsqu'elle se demande pourquoi sa sœur et pas elle.



Un très bon roman qui parle de la maladie et il n'y en a malheureusement pas assez... C'est la vie et comme on peut le voir dans ce roman, elle peut se terminer en un instant, tout peut basculer du jour au lendemain. [/spoiler]



La passion pour la photographie donne vraiment envie de s'y mettre et donne un peu de gaieté.

Ce livre est tellement beau, profond. Un enchantement. Je ne m'explique pas comment je ne l'ai pas lu avant.

Il est certes conseillé pour adolescents mais ses thèmes sont tellement "existentiels" qu'il sied à des adultes.

Un énorme plaisir de lecture en tout cas

J'ai trouvé ce livre très original, mais sans plus. L'autrice est visionnaire et interroge le lecteur sur l'avenir de l'humanité, dans un monde où les couleurs n’existent pas. J'ai aimé le fait qu'on découvre petit à petit l'univers au fur et à mesure des pages. Il devrait définitivement être dans le programme scolaire!

Quel coup de cœur pour ce roman ! On se trouve ici plongé dans une dystopie, mais n’imaginez pas « dystopie » comme celle qu’on connaît tous, j’ai trouvé celle ci bien différente.



J’ai adoré découvrir cet univers particulier, dans ce monde qui me fait penser à une secte et qui n’a rien à voir avec ce que nous connaissons dans nos vies. J’ai trouvé que tout avait un sens, chaque éléments nous fait réaliser que ce qui est évident pour nous ne l’est pas forcément pour tout le monde. Ce livre m’a vraiment fait réfléchir.



Voir le récit dans les yeux d’un petit garçon ne m’a pas du tout déplu, j’ai trouvé cela plutôt positif. Parce que les jeunes comme lui ont selon moi une façon différente de voir le monde. J’ai pu assisté au fait qu’il sortait de l’enfance et découvrait petit à petit la vérité sur l’univers qui l’entourait. J’ai trouvé son changement de vision très cohérent.



J’ai été touchée par le lien qu’il entretient avec le passeur. J’ai aimé les moments où ils se retrouvent tous les deux, certains passages transmettaient beaucoup d’émotions.



Et j’ai vraiment apprécié la fin, pleine de mystères.

Je vous conseille vraiment ce roman, qu’importe l’âge qu’on a. Il nous fait repenser tout ce qu’on connaît et crie énormément de vérités.

~ Belle dystopie. On découvre le monde de Jonas au travers de ses expériences et émotions. L’auteur manie extrêmement bien la description des sentiments des personnages. Des plus courants aux plus rares, on les ressent facilement et c’est tout ce qui fait la puissance de ce roman.



~ Découvrir ce monde sans couleur où chaque enfant vit la même expérience et poursuis sa vie selon les décisions d’un petit groupe de dirigeants parmi la communauté m’a prise au tripes. Je sentais le mal-être de Jonas et j’avais envie de tout déchirer de ce monde bien trop sage.



~ Le suspense est léger, mais pour autant, on ne se doute jamais de la fin jusqu’à la dernière page.



~ Si vous aimez les dystopies et les mondes à la fois semblables et si différents du notre, n’attendez plus !

Pour moi ça a été une relecture et tout aussi bien que ma première fois!

Cette histoire est une critique de la société et une très belle aude à la vie!

Autre fois je n'avais lu que le tome 1 et j'ai hâte aujourd'hui de découvrir la suite de cette histoire.

Bien qu’âgé de 21 ans, ce livre m’a boulversé.

L’innocence de Jonas,la beauté du récit ne m’a pas laissé indifférent.

La fin laisse chacun libre de l’ interprétation mais peut importe celle-ci, vous serez touché par l’aventure de Jonas.

Ce récit est une vraie et belle aventure humaine que chacun devrait avoir lire afin d’envisager les enjeux futurs, ou simplement envisager la naissance d’un enfant…

Très bon livre, le personnage principal est attachant mais je suis un peu déçu de cette histoire en comparaison avec les 2 autres avant celle-ci de cette saga ("Le passeur" et "L'élue"). Mais cela reste tous de même un très bon livre avec un tous autre univers mais qui reste quand même liées aux autres de la saga!