Elle ne cherchait rien dans ces bois, que la solitude. Une autre solitude que celle de la cabane, d’où l’on dominait la plage, l’océan infini. Il y avait toujours des intrus au bord de l’eau, dans l’eau, sur l’eau. Jeanne ne détestait pas les autres, du moins pas tous - mais, elle l’avait bien compris depuis longtemps elle n’avait pas besoin d’eux. (Page 11)