Comme l’ami aime l’ami,
Ainsi je t’aime, vie surprenante !
Que je jubile ou pleure en toi,
Que tu me donnes souffrance ou joie,
Je t’aime avec ton bonheur et ta peine.
Et si tu dois m’anéantir,
En te quittant je souffrirai.
Comme l’ami qui s’attache au bras de l’ami,
Je t’étreins avec toute ma force :
Si tu n’as plus aucun bonheur pour moi
Soit ! Il me reste –La souffrance