Tel un incube végétal, à chaque sacre de printemps, il se libérait de l’étreinte d’un lierre grimpant sur l’un des murs du château pour posséder la jeune fille qui avait le malheur de croiser son chemin. Ce conte inquiétant avait fini par appartenir en quelque sorte au patrimoine culturel de la région au fil des générations.