Mais c'était M. J. Miot qu'on emmenait en prison. Quelques-uns de ceux qui suivaient les masques du carnaval les avaient quittés pour voir emmener le vieux républicain par les valets de l'Empire ; cette foule joyeuse au jour de deuil n'est pas le peuple, c'est la même qu'on voit aux exécutions capitales et qu'on ne trouve jamais quand il faut soulever les pavés.