- Parfois le ma’at est tellement cruel. Quand il t’éloigne de nous, je le déteste de tout mon cœur.
- Haïr le ma’at, c’est comme haïr le soleil qui brûle les récoltes ou le grand fleuve qui détruit les villages. Ça ne rime à rien. Toi, moi, Henutsen… N’importe qui, du souverain jusqu’au dernier esclave… y compris les dieux.