Luca Tarlazzi

Selen est le personnage principal récurent de cette série. Celle-ci comprend quatre tomes « Sex in Italy I à IV ». Ils peuvent être lus indépendamment, la preuve. De toute façon, il n’y a pas vraiment de scénario, ou bien il est tellement inexistant….

Dans des années antérieures les lecteurs du journal Lui donnaient comme excuse « Ce sont les articles politiques qui m’intéressent ». Dois-je m’en trouver une pour expliquer mon choix des albums de Lucas Tarlazzi. Je n’ai tellement peu de raisons de m’en cacher que je me propose de vous en parler.

Luce est amatrice de sexe tant au cinéma X, sous le nom de Selen que dans sa vie. Sa vie, elle la partage avec Franck et tous ceux qui ont la chance de la posséder. Une vie on ne peut plus libertine. C’est les dessins, et sûrement que lui, qui font la force de cette bd. Graphisme tellement réaliste qu’il donne l’impression d’être devant sa télé un samedi soir à minuit.

Vite fait pour le scenario. Selen va montrer son grand cœur à cet adorateur de sa personne en lui offrant de rêver éveillé.

Avec Manara, Tarlazzi est sans doute un des meilleurs dessinateurs du X.

Pour le dernier tome de sa tétralogie, Tarlazzi propose une série d'histoires courtes. Enfin ! Fini d'essayer de bricoler un semblant de scénar-prétexte global pour tenter de relier entre elles ses scènes de cul et n'aboutir qu'à un improbable machin bancal et branlant.

Eh ben c'est pas tellement mieux en fait. Certaines historiettes parviennent à raconter quelque chose, d'autres restent un mystère, celle-ci tronquée net sans vraie fin, celle-là sortie de nulle part dans un style graphique à mille années-lumière du reste.

Au moins la BD fait enfin le lien avec sa source d'inspiration, l'actrice Luce Caponegro, nom de scène Selen.
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Le récit se place sous le thème de l’errance. Axu, un Celte, baguenaude dans la pampa nord-italienne en cours de conquête par les Romains qui n'ont pas encore la Gaule. Axu croise des gens, s’installe dans des villages, vit des bouts de vie, baise, repart. Il a l’air de chercher un truc, mais ça ne paraît pas bien clair dans sa tête, pour le lecteur encore moins, et le scénariste ne semble pas savoir où il va lui-même. Dans le genre brouillon et confus, ça se pose là.
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A ne pas mettre en toutes les mains si moins de 18 ans.

Selen est une libertine. Elle a mis de côté tous les tabous en matière de sexe (excepté les déviances). Cela donne des scènes x d'exhibition, d'échangisme, de mélangisme, de bisexualité...

Si le manque de scénario est évident, la qualité du graphisme l'est également.

Doit-on se couvrir de honte d'être un lecteur d'une bd explicitement pornographique. Ma réponse est et restera non. Lorsque vous l'ouvrez, vous le faites de plein gré, sinon abstenez-vous.

Un titre en franglais pour bien démarrer la série, corrigé pour les trois tomes suivants de Sex in Italy. Selen, héroïne de ce qu'on appellera faute de mieux “l'histoire”, c'est un peu la version adulte et délurée de Martine. En boîte de nuit, sur le parking, à la station-service, à la plage, sous la tente, chez le gynéco... Elle est partout. Et elle fornique à qui mieux-mieux. Et c'est tout.

Tarlazzi enchaîne les saynètes comme s'il suffisait de les mettre bout à bout pour créer une histoire. Spoiler : ça ne marche pas.

Même le concept laisse perplexe : Tarlazzi s'inspire d'une personne réelle, Luce Caponegro, actrice X sous le nom de Selen, mais rien dans l'album ne renvoie au monde réel ni n'évoque le lien entre le personnage et la muse. L'héroïne pourrait aussi bien être inspirée de n'importe quelle autre femme ou être complètement fictive, ce serait pareil.

Par chance, le dessin est très bon – et avouons-le, c'est ça qu'on vient chercher plutôt qu'une intrigue savamment construite –, ce qui sauve la BD.
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J'ai lu cette BD il y a pas mal de temps, car la qualité du dessin m'avait interpellé.

J'ignorais qu'elle était basée sur une actrice X italienne et peut-être que l'histoire et les personnages font sens si on la connait. Dans mon cas, je n'ai pas saisi grand chose au semblant d'histoire. Je l'ai pris comme une suite de scènes de cul.

J'attribue une bonne note car le dessin est excellent, mais je n'ai jamais eu envie de "lire" les tomes suivants.

Vingtième opus de la collection “Selen présente”, “Sévices compris” de Luca Tarlazzi est rigoureusement identique dans l'esprit à son prédécesseur immédiat dans l'ordre des publications, “Chairs petits secrets” de son confrère Stefano Mazzotti. Faux-semblants, illusions, magouilles, fantasmes, toujours entre le rêve, la réalité ou une version quelque peu arrangée de cette dernière. Même esprit, donc, mais avec moins de fond et de fun chez Tarlazzi que chez Mazzotti, d'où une lecture sympa sans être renversante non plus.
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Le dessin est vraiment très bon, les filles jolies, mais ça se parcourt des yeux en deux minutes et ça s'oublie en beaucoup moins !
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Après un premier volume consacré aux turpitudes de la seule Selen, ce deuxième opus introduit un autre personnage féminin, la brune Françoise. L'album démarre pas mal, monte en puissance jusqu'à la moitié et là c'est le drame, Tarlazzi s'embarque dans une histoire d'anniversaire confuse, longuette et molle du genou. Son intrigue ne va tellement nulle part qu'il finit par la planter là pour partir sur du méta, avec Selen qui lui rend visite. Ni queue ni tête, dessin un cran en dessous du premier, bof, bof, bof.
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N'ayant jamais lu le premier tome et ne sachant pas dans quoi j'allais m'engager, j'avais un peut peur de me lancer dans la "lecture" ou plutôt dans les dessins purement érotique de ce tome.



En effet, l'ensemble ce lit en quelques minutes (moins de 5) et s'oublie avec tout autant de rapidité.



Pour ma part, cette BD a été une perte de temps!

L’absence de scénario flagrante condamne cette bande dessinée aux 36ème dessous… En effet point de 7ème ciel pour le lecteur ou la lectrice de ce Sex in Italy.





Le pauvre Fabien tombe malade parce qu’il a voulu jouer le jeune Dom Juan fougueux sous la pluie (eh oui que voulez vous il aime se mouiller notre hidalgo…) (ok, je sors...) Bref, Fabien est cloué au lit ce qui pourrait être une bonne nouvelle pour sa compagne (parce que je précise quand même qu'il était avec une autre sous la pluie) (pas bien...) mais il est aussi livide, très peu glamour… De fait Serena s’ennuie, mais heureusement pour elle la maîtresse de Fabien va la sortir de cette torpeur en se proposant -gentiment- de remplacer son amant (à coups de ceinturons, elle n’y va pas de main morte Francesca, mais je suppose que les coups de ceinturon était nécessaire pour réveiller Séréna et chasser les microbes…) Le pauvre Fabien ne peut que regarder la scène -comme le voisin d'ailleurs- tant il est malade.







Six mois plus tard, (oui c’est comme ça, ça s’appelle une ellipse temporelle paraît-il) (inutile ici je vous l’accorde…) nous retrouvons Séréna et Fabien qui organisent l’anniversaire de la belle pour le lendemain. Fabien a l’air en meilleure forme. Mais le jour J Séréna manque de s’étouffer en mangeant une part de son gâteau. Mais qui donc aurait voulu l'empoisonner ?? Mais nous n'aurons pas besoin des services de Dahlgren pour le découvrir (dommage...) : c'était juste une idée brillante de Fabien qui avait caché une boulette de papier dans le gâteau pour inviter la jeune femme à un jeu de pistes. Quel joueur ce Fabien...







Serena se lance alors dans une suite de gages très excitants comme sucer un invité désigné au hasard, sortir dehors nue (là Séréna triche : elle garde son collant troué (elle suit la mode Séréna…)) Nue dehors en pleine nuit, elle se fait bien sûr interpeller par quelques loubards mais eux ne semblent pas avoir de pensées lubriques (va comprendre...).







Après avoir accompli vaillamment ces gages concoctés par son compagnon dévoué et aimant (mouais...) Séréna a droit à son cadeau d’anniversaire : une bague et… trois apollons prêts à réaliser le moindre de ses désirs, trouvés dans les petites annonces par Fabien. Et là GROSSE déception : malheureusement, preuve que c’est un homme qui écrit, nous n’aurons pas droit à cette scène qui avait pourtant réveillé les papilles des lectrices, lasses de tant de stéréotypes machistes…



Et l'Italie dans tout ça ??? Bof elle ne sert à rien, comme la plupart des aspects de ce scénario pur prétexte à quelques dessins crus destinés à quelques mâles en manque...
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A ne pas mettre en toutes les mains si moins de 18 ans.

Les quatre albums se caractérisent un scénario absent ou presque, en tout cas inutile. Place au graphisme qui est magnifique.

Doit-on se couvrir de honte d'être un lecteur d'une bd explicitement pornographique. Ma réponse est et restera non.

Même sans avoir lu le premier tome, il est aisé d'entrer dans ce deuxième volet de "Sex in Italy". Peut-être trop d'ailleurs...



L'ensemble se lit et se regarde avec une rapidité assez déconcertante, tout en balayant un large spectre des fantasmes les plus communs. Fantasmes voire clichés...



Quoiqu'il en soit, le tout n'en est pas pour autant désagréable, si l'on a deux ou trois minutes devant soi.



Malgré tout, un gros point positif pour la qualité des dessins, dans lesquels les femmes notamment bénéficient de traits extrêmement travaillés et réussis, un régal assuré pour vos yeux.

Un western avec pour héroïne une Amérindienne, ça aurait pu donner du lourd. Et non. La BD se perd en essayant d’être un peu tout à la fois sans aller au bout de rien. Un érotisme mais trop ténu pour apporter quoi que ce soit, ça aurait été aussi bien sans. Un peu thriller, mais ce versant est expédié sans créer de tension. Quant à la quête des origines de Nuage Blanc, elle s’achève… ou plutôt s’inachève en fin ouverte, irrésolue. Un western classique avec une suite pour boucler l’histoire aurait été une bien meilleure idée que cet album prometteur qui laisse in fine le lecteur sur sa faim à tous les niveaux.
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L'insatiable Luce/Selen poursuit sa route dans la plus extrême confusion scénaristique. On pige encore moins ce qui se passe que dans le tome 2, où ça ne menait nulle part mais en ligne droite. Là, ça essaye d'aller on sait pas où, on sait pas comment, on sait pas pourquoi, on comprend que pouic au peu qu'il y a à capter tellement rien n'a de sens. Tarlazzi aurait dû se contenter de saynètes indépendantes, au lieu de bribes qui essayent de tant bien que mal de se rattacher les unes aux autres, ou qui sont juste parfois juxtaposées à coups d'ellipse temporelle. Même côté cul, c'est léger, ça manque de dynamisme, de fantaisie, d'ardeur. Beau dessin, mais tout cela est si vide...
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A ne pas mettre en toutes les mains si moins de 18 ans.

Les quatre albums se caractérisent un scénario absent ou presque, en tout cas inutile. Place au graphisme qui est magnifique.

Doit-on se couvrir de honte d'être un lecteur d'une bd explicitement pornographique. Ma réponse est et restera non.

Amours furtives dans une cabine d’essayage, au détour d’une rue, au vidéoclub, ou dans la cuisine, avec du souvent du monde pas bien loin, ces Tentatives de charme sont tout autant des tentatives de ne pas se faire gauler la main dans le sac.

Tarlazzi offre ici une palette assez large en termes graphiques. On peut autant reprocher à ce volume son manque d’unité stylistique ou au contraire louer la variété qui permet de saisir l’étendue des capacités de l’artiste.
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Faux-semblants, illusions, magouilles, fantasmes, Sévices compris navigue entre le rêve, la réalité ou une version quelque peu arrangée de cette dernière. C'est joli, mais ça manque de fond, d'un peu de fun, d'un brin de folie pour remporter l'adhésion à corps perdu, d'où une lecture sympa sans être renversante non plus.
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Cette bande dessinée érotique se compose de courtes histoires. Le thème principal est le fantasme féminin, rêvé ou accompli (ce qui fait que le fantasme n'en est plus un). Comme d'habitude avec cet auteur, il ne faut pas attendre un scénario très fouillé. C'est par l'image et la qualité des dessins que nous convainc encore une fois Tarlazzi. Il faut avouer qu'il sublime les corps féminins, qu'il sait rendre hommage à leur beauté et à la puissance de leur plaisir. Un régal pour les yeux, un repos pour les neurones. Dans la grande tradition des grands maîtres de la bande dessinée italienne.

beaucoup de sensualité et

d,émotions.