– Mon Hiruko… J’ai peur que… tu sais… objecta-t-elle sans pour autant le repousser.
Une fois de plus, il lui expliqua que leurs ébats n’avaient rien à voir avec leurs mésaventures. Finissant par entendre raison, elle l’enlaça, et – avant d’aller travailler –, ils s’unirent lentement. Elle avait les plus belles fesses qu’une femme n’ait jamais eues, se dit le jeune homme en les voyant onduler. Du bout des doigts, il les frôla, ivre de ce contact sublime. L’instant d’après, il vint. Seul.
Troublé que Yoko ne l’ait pas suivi, il la dévisagea avec inquiétude.
– Ne t’en fais pas, lui glissa-t-elle dans le creux de l’oreille. J’ai du mal à oublier mes vilaines idées, c’est tout… Ne t’arrête pas, s’il te plaît.