Chaque mouvement provoquait des tsunamis de plaisir, qui me traversaient du bout de mes pieds jusqu’au haut de mon crâne. Les sensations étaient tellement intenses, que je n’arrivais plus à raisonner, mon esprit s’évadait au rythme des coups de hanches que mon amant m’infligeait.
Soudain, sans que je ne m’y attende, il réussit à enfoncer encore un peu plus son sexe en moi, provoquant violemment une seconde décharge, je pus sentir chaque partie de mon corps traverser par une multitude de frissons sous l’intensité des va-et-vient qui se produisaient en mon antre.
Plus nos baisers se faisaient intenses, plus le tissu de son pantalon s’étendait.
Sans aucune pudeur, je déposai ma main sur cette éminence et commençai à le caresser. Plus mes mains le frottèrent à travers son pantalon, plus il prit en volume.
Je me levai et admirai cet homme, telle une artiste admirant sa muse, et il faut dire qu’une telle vision m’inspira énormément. La seconde d’après, je lui ôtai enfin son boxer, ce qui libéra enfin sa belle queue en érection que j’attendais tant.
De toute évidence, il faisait exprès de se contenter de me frôler. Il prenait un malin plaisir à jouer avec moi, mes envies. Il savait très bien qu’à ce moment je ne désirais que lui.
Ce sourire ravageur, je devais résister, ne pas rougir, ne pas baver, rester digne, ne pas montrer que j’étais en manque de bels hommes.