Lucie Durbiano

Si c'est fidèle au roman c'est très moderne pour l'époque à mon avis, ca donne bien envie d'en savoir plus sur Colette et son œuvre. J'ai vraiment aimé le biopic sorti il y a qqs années et a part le blé en herbe je ne connais rien de son oeuvre qui pourtant a l'air intéressant, à noter. Cette bd est très agréable à lire, drôle, les dessins très sympas

Beau livre à la couverture souple, cet ouvrage regroupe cent histoires de notre monde. Des histoires qui nous dévoilent des petits et grands combats, des grands noms et des noms bien plus discrets. Ils ont tous leur importance pour notre monde actuel, car d'une certaine manière par leurs actes, il n'en est que meilleur. J'ai découvert des moments clés qui m'ont réellement impressionnée. Ce livre est une splendide découverte. Il est à mettre entre toutes les mains, il est à offrir, à prêter, à lire un peu tous les jours.



Parce que c'est une lecture inspirante. On y rencontre des personnes ordinaires, de celles qu'on pourrait croiser dans la rue, et qui ont un jour fait quelque chose, dit quelque chose qui a tout changé dans la vie d'autres personnes. Je trouve ça formidable et ce livre porte si bien son titre. De chaque histoire, il ressort quelque chose de positif. Des idées, des vies sauvées, des projets. Elles sont de ces personnes qui aident à libérer la parole, elles invitent au respect de l'autre, à la tolérance, à la solidarité.



Chaque histoire est accompagnée d'une illustration, d'un portrait coloré et je continue de les feuilleter de temps en temps. Il y a bien des portraits familiers, comme Coluche, l'Abbé Pierre, Greta Thunberg, mais ils ne sont finalement qu'une poignée. La très grande majorité des portraits me sont personnellement inconnus et ça me rend chaque fois bien curieuse. Rien que pour tout ces morceaux de vie qui viennent du monde entier, Les Formidables a définitivement sa place dans toutes les bibliothèques et prouve une fois de plus que l'être humain a grand cœur, qu'il est capable de grandes choses. Si il est conseillé à partir de 8 ans, il n'y a ensuite aucune limite d'âge.


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J'ai été complétement séduite par les dessins et le trait de crayon. Ce côté un peu rétro et les planches splendides ont participé à mon enthousiasme pour cette lecture.

Côté histoire, ne connaissant pas l'œuvre d'origine de Colette, je l'ai trouvé intéressante et le côté jeune fille rebelle de Claudine a rendu le tout assez bien fait.

Un véritable plongeon dans une école du début des années 1900.

Attirée par le graphisme assez simpliste et la lecture des deux premières pages je ne m'attendais pas à ça. C'est finalement une bande dessinée fantastique sur fond de légende et de malédictions. Un peu le croisement improbable entre le club des cinq et Dracula. Bizarre

Un petit peu mitigée quand à cette adaptation de Colette en bd, par Lucie Durbiano. Les illustrations et le travail sur la couleur conviennent parfaitement au ton à la fois très féminin et espiègle, parfois doux-amer de Colette. Le personnage de Claudine est fort bien représenté, ce mélange à la fois encore d'enfance, de sensualité et d'arrogance, et l'école de fille avec ses jalousies, ses commérages, ses jeux et sa cruauté parfois est parfaitement mise en scène, et l'illustration faussement enfantine de Lucie Durbiano convient parfaitement. Toutefois, j'ai été assez peu emportée par l'histoire et les nombreux jeux amoureux. Cela reste néanmoins une lecture plaisante, notamment pour sa mise en page et ses dessins.

Un livre tres agréable à lire. L'auteure mélange mythologie grec et romaine ce qui fait que ce roman graphique n'est pas juste au sens historique mais ce n'est en aucun cas le but. Il donne envie de s'intéresser plus précisément à la mythologie abordé ici sous une facette différente. En effet, beaucoup d'humour est présente dans ce livre ou l'on y redécouvre certains mythes. Les clins d'œil bien réelle m'ont d'ailleurs fait sourire.

Ce livre est intéressant ça parle d'une famille qui a perdu leur parents dans accident mais la famille est heureuse.J'ai lu le tome 1 et dévore le tome 2 !

Une chouette découverte que ce roman graphique, tout en fraicheur et en intelligence.

L'auteur mêle éléments historiques, intrigues amoureuses et enquête d'aventure, le tout servi par des personnages aux portraits brossés avec justesse et talent.

A lire absolument.

Je me suis attachée à cette famille unique, à leurs petites histoires et à leur effrayante maison.

Une BD simple mais addictive et qui envoie du positif.

De simples et courts récits, frais, colorés et sensuels, avec l'amour pour thème central - version aventures et coups de foudre. Du loup au vieil acteur, en passant par le vieux loup de mer ; du Chaperon rouge à Alice, en passant par la future actrice, les héros des planches de Durbiano parodient les contes et l'imaginaire au sens large dans un joyeux marivaudage.

Un joli petit album ! Je ne connaissais pas ce qui est visiblement une collection établie...

Lulu est une jolie petite fille qui se balade avec son papa. Elle découvre que son ami fait du vélo sans roulettes et qu’il fait le fier. Blessée, elle décide d’apprendre aussi, y réussi avec l’aide de son papa, et c’est son tour de snober sa copine ! Numéro qui finit dans un buisson puis sur un manège.

Très rapide, cette aventure met en scène amitié et moquerie, humilité et humour... Tout est écrit très simplement mais pour autant le vocabulaire n’est pas pauvre (les demoiselles découvrent le mot « écuyère »).

Idéal pour les lecteurs débutants.

Tendre et rafraîchissant comme une Love Song, drôle et grave à la fois, Mélo Pop embarque pour une thérapie musicale. Réservez vos places !
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Écrite par Laurence Gillot et illustrée par Lucie Durbiano […], cette série, pleine de fraicheur et d'audace, existe depuis 2005 et compte à ce jour 23 titres.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..

J'ai bien aimé ce livre parce que ça parle de la télé et moi aussi j'aime bien regarder la télé. Et Lulu Grenadine ne fais pas ce que la maman dit.

Lo est une jeune nymphe recueillie par Artémis et qui tombe amoureuse d'un berger, Daphnis, et qui rêve de devenir femme avec lui.



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Petit rappel pour les absents du cours dernier : pour comprendre le maximum de subtilités dans cette BD, il faut connaître un peu la base d'une histoire antique de Longus, celle de Daphnis et Chloé. Daphnis et Chloé sont deux bergers amoureux l'un de l'autre mais qui vivent dans l'innocence et la naïveté de l'enfance, tout en étant de grands adolescents. Ils prennent pour modèle les animaux pour s'aimer, mais ne comprennent pas le mécanisme d'accouplement. Plusieurs aventures loufoques arrivent aux héros comme Chloé qui est enlevée par des pirates ou Daphnis qui est initié à l'art de l'amour par une femme plus âgée que lui.

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Lo est une BD pour ceux qui n'ont pas peur de renouer avec l'Art d'aimer d'Ovide ou avec les comportements décalés des dieux d'Homère dans l'Iliade. Sur ce point, la BD est fidèle à l'époque et Lucie Durbiano a fait un bon choix. Petite nuance tout de même : on peut trouver rapidement cet humour lourd si on n'a pas l'habitude de ce type de texte, et j'ai l'impression que la BD perd de la force si on ne connaît pas Daphnis et Chloé, qui est justement excellentissime et risible à souhait. Seule la partie où Lo devient mélancolique et où sa meilleure amie essaie de résoudre ses problèmes peut toucher n'importe qui. On s'imagine très bien les collégiennes ou les lycéennes qui partagent leurs peines de cœur mais qui n'y connaissent rien aux jeux de l'amour. Même si elles aimeraient bien. Le personnage de Lo oscille encore entre les deux pôles : l'amour innocent et la sexualité pleinement vécue comme charnelle. Je n'ai pas trouvé cette intrigue très innovante, mais il est vrai que c'était un pari risqué d'utiliser un décor de Grèce antique pour toucher un public moderne. Lucie Durbiano a été jusqu'à imiter Longus : sur la même idée de Chloé enlevée par des pirates, la naissance de Lo est rocambolesque et originale.



Une analyse simple mais exotique de la souffrance amoureuse et de la complexité des sentiments à travers les yeux d'une adolescente.
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Le rouge vous va si bien, ou sept historiettes sur les amours sans lendemain! Les histoires sont comme toujours séduisantes, poétiques, drôles et avec un soupçon d'angoisse et de mystère! Elle s'est aussi amusée à détourner des contes populaires (Le petit chaperon rouge et son loup dandy), des personnages historiques (Henri III) ou des figures célèbres comme Alice au pays des merveilles (qui finit chez les pirates Razz ). Une des histoires se situe en Amérique et prend des allures de pièce de Tennessee Williams, une autre est une tragique fable sur des escargots! Il y a un imaginaire vraiment dramatique et en même temps cocasse chez cette dessinatrice! Toutes les histoires ne sont pas aussi réussies mais l'ensemble est cohérent et se suit avec plaisir.

J'ai préféré à "Trésor" du même auteur « Orage et Désespoir », du nom des deux héroïnes (curieuse idée !!! mais j'aime ce jeu de mots), jeunes filles de notre temps en vacances sur la côte bretonne où elles retrouvent comme chaque année deux garçons de leur âge. De mystérieux événements sur la plage vont les mettre sur la piste des habitants du manoir de l'île aux mortes dont les intentions à leur égard ne semblent pas nettes.



J'ai aimé l'opposition du caractère des deux soeurs, la légende de l'île aux mortes et les découvertes des jeunes gens à ce propos. Cette histoire de malédiction avec son aspect fantastique.




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Adaptation drôle et fine. On passe un bon moment

C'est très sympa : une histoire de trèsor mérovingien et un peu d'amour aussi. Le père de Christine est un éminent historien qui possède un parchemin qui ménerait au trèsor des Wisigoths dans le Landeguoc.



Il faut deux autres parchemins pour découvrir la cachette du trésor et ils sont détenus par Jean, un étudiant qui décide de séduire Christine pour voler celui qui lui manque. Aidé de sa maîtresse Simone, ils vont infiltrer la famille mais être démasqués par Michel, l'assistant du professeur. De quiproquos en accidents, ils vont tous se lancer dans une expédition délirante et peut-être faire fortune...



L'histoire se déroule dans les années 50 et évolue entre marivaudage et aventure. C'est léger et très malin!

Critique publiée initialement sur le site Critiques Libres (2009)



Voilà la quatrième et dernière bande dessinée que j’ai reçu de la collection Bayou, de chez Gallimard Jeunesse. Mon constat le plus plaisant ? Le format des ouvrages, qui sont un peu plus grands que des livres brochés classiques, mais plus petits que les BD conventionnellement très grandes. Une couverture cartonnée robuste, un papier agréable sous le doigt, une collection qui change et qui embellit une bibliothèque de pur livrophage.



Trésor est une histoire de chasse au… trésor, vous aurez deviné juste. En voyant la couverture, je pensais qu’il s’agirait d’une fille qui s’appelle “Trésor”, et à qui il arriverait plein de petites histoires, un peu comme dans pas mal de BD, et puis en fait non, ça n’a aucun rapport. On y parle de Christine, la fille du professeur Alamaro, qui enseigne l’archéologie à la Sorbonne dans les années 50. Autour d’eux gravitent Michel, le fidèle assistant du professeur, un peu coincé, mais qui en pince pour la jeune fille. Viennent ensuite Jean, l’étudiant modèle et sa petite amie Simone.



Sauf que, rien n’est jamais trop simple, Jean et Simone ont échafaudé un plan machiavélique : gagner la confiance du vieil archéologue, et lui subtiliser le parchemin manquant qui les conduirait à un célèbre trésor… Pour ça, Jean n’hésitera pas à séduire Christine, jeune fille fleur bleue s’il en est, qui pendant ce temps là ne voit ni les avances timorées de Michel, ni les signaux d’alarme qu’il lui enverra lorsque, malgré lui, il découvrira la véritable motivation de Jean.



Trésor est une histoire légère, mignonne et marrante à la fois, qui a la forme d’une fausse aventure et la candeur d’une vraie histoire pour ado, avec le charme fou d’un Paris d’une autre époque, celui des jeunes filles bien sous tout rapport qui s’amourachaient de jeunes étudiants avec la raie sur le côté. Des jolis dessins, des personnages attachants, une fin plus adulte que dans les BD ordinaires mais qui fait que Trésor, à défaut d’être la trouvaille du siècle ou le trésor de la BD, est une petite pépite qu’on prend plaisir à lire et à posséder.