L’Hôtel Z a peut-être définitivement intégré l’album des souvenirs de tous ceux qui, comme moi, sont passés par là, ont écrit leurs noms dans le registre, occupé des chambres avec le tournoiement paresseux des ventilateurs pour seule compagnie, bu du rhum et de la cachaça, mis de l’ordre dans leurs passions et leurs idées, bercés par la pluie, et décidé de ce qu’ils allaient faire de cette foutue habitude de vivre.
(p. 40, “Hôtel Z”, dernier paragraphe).