Il était facile à Juliane de se croire en imagination dans la salle du chateau, où, si elle avait voulu, elle aurait pu être confortablement installée. Tout à coup, une haine aveugle s'empara d'elle pour cette maison dans laquelle la retenait une force inexplicable, plus puissante que les désirs même de Heckliff ou sa propre volonté.