Page 43 : Je ne quitte plus le parc maintenant. Mon banc est déserté par les autres promeneurs. Sous le forsythia sompteux, j'ai creusé une cabane, une niche dans laquelle je peux me réfugier la nuit venue. J'ai patiemment lié les branchages. L'inclinaison que je leur ai donnée forme un cocon de verdure.