Il y a cinquante ou cent ans, le personnage type du roman d'aventures était le sinistre potentat oriental. Le despote diabolique et enturbanné qui complote pour saisir entre ses griffes lubriques une jolie blonde aux yeux bleus, tandis qu'un aéropage (sic) de prêtres païens prépare pour le bel amoureux lubrique de la jouvencelle une sentence raffinée.