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2.78/5 (sur 125 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 21/10/1929
Biographie :

Max André Rayjean
Pseudonyme de Jean Lombard qui a aussi écrit sous son patronyme. - Auteur de romans policiers et de science-fiction, et scénariste de bandes dessinées. - Lauréat du Grand prix de science-fiction en 1957 et 1974


Source : Catalogue de la BNF
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Bibliographie de Max-André Rayjean   (87)Voir plus

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Citations et extraits (52) Voir plus Ajouter une citation
— Tu sais, ils ont modifié le tracé de toutes les lignes aériennes au-dessus du Triangle des Bermudes. Ils espèrent ainsi qu’un truc comme celui du 303 ne se reproduira pas.

Pour le vol Londres-Mexico du 15 mai, ce fut encore plus déconcertant. Les spécialistes ne notèrent aucune modification biochimique chez les cinquante-quatre passagers. Ceux-ci continuèrent leurs activités pendant des mois comme si rien ne s’était passé. Ils ne disparurent pas, comme ceux du 303.

Le mystère resta inexpliqué. Un repli du Temps ou une autre Dimension contentèrent la soif d’information de l’opinion publique. Mais les savants n’étaient pas entièrement convaincus.
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Le véhicule sur coussin d’air filait à très grande vitesse, au ras du sol. Un mécano veillait en permanence sur les appareils de contrôle.

Il s’appelait Lyod Shiron. Il était aussi électronicien. Il connaissait parfaitement son affaire et guidait l’engin avec sûreté. Il regarda ses compagnons dans le cockpit et hocha la tête.

— S’il n’y avait qu’un gigantesque désert ? conclut-il, pessimiste.
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On passait la nuit ensemble, sans le moindre risque à cause des préservatifs à haut de gamme, et je pouvais changer ainsi, à mon gré...

Pour la bagatelle, les Adultes étaient gâtés.
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— Nom d’un chien ! tempêta Gia en secouant son gros ventre. On a frôlé la catastrophe. Je crois que nous étions au cœur d’un orage magnétique.
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Le gendarme pense à un détail important :
- Vous n'avez jamais relevé des traces sur la neige, Joanni ?
- Des traces ? sursaute le vieux. Quelles traces ?
- Je n'en sais rien. Des empreintes suspectes, bizarres, comme on n'en relève pas d'habitude.
- Des traces de bête sauvage, hein ?
- Si vous voulez.
- Non. Mais s'il s'agit d'une bête phénomènale, comme le soutenait Pacaud, elle ne se conduit probablement pas comme un animal ordinaire. Peut-être qu'en marchant elle ne laisse pas de traces. Peut-être qu'elle est invisible. Ou peut-être qu'il s'agit d'une bête de l'Esprit.
- Vous y croyez, Joanni, à l'existence de la Bête ? lance Boyer.
Le vieux hésite. Un long frémissement agite son corps drapé dans les guenilles. Comme si la peur, la hantise, le paralysaient. Enfin il retrouve une certaine souplesse dans ses membres.
-Tant qu'elle ne se dresse pas devant soi, on n''y croit pas. En tout cas, mes pauvres, j'ai bien ri en vous voyant entrer dans la mine avec des fusils. Si la Bête existe, ça m'étonnerait que vos armes soient efficaces.
- Qu'en savez-vous ? siffle le brigadier.
- Oh ! une hypothèse. Une simple hypothèse. Moi, je ne veux pas vous contrarier.
- Pour nous, résume Guibert, c'est clair. Nous ne croyons pas aux créatures surnaturelles. Une balle reste une balle. Quand elle frappe un organisme, elle occasionne une blessure. S'il y a un chien sauvage dans le coin, nous l'abattrons un jour ou l'autre.

Page 46
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Elle ne comprend pas, la vieille. Elle gémit. Elle se tord les mains de douleur. Elle reconnaît à peine son fils dans ce tas de chair en putréfaction. Et Noirot hurle à la mort, lugubrement, son museau levé vers le ciel bleu. Il apprend à toute la montagne que son maître n'est plus.
Au loin, d'autres chiens lui répondent, partagent sa peine. Un genre de solidarité les unit. La mort d'un humain, trouble toujours leur comportement. Car l'homme, c'est le compagnon de leur vie.

Page 120
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On a beau s'appeler Mac Kerreck et avoir roulé sa bosse dans tout le système solaire, il existe des phénomènes qui dépassent rapidement l'imagination et vous plongent dans la plus grande fascination : le désarroi.
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- C'est une bête phénoménale, note Gil, avalant sa salive.
- Oui, explique le vieux. Phénomènale, à plus d'un titre. Vous voyez, monsieur Gil, je me mets en quatre pour vous faire plaisir et, si vous voulez admirer Rhâzine, je vous mène tout de suite jusqu'à elle.
- Tout de suite ?
- Oui, Vous avez peur ?
Le journaliste se raidit. Il avance encore d'un pas. Ses traits se figent comme ceux d'une statue.
-Peur ? Non. J'ai l'habitude de démêler ce genre d'histoire. Il n'y a pas si longtemps, dans la Haute-Ardèche, je me suis trouvé aux prises avec des gens bien plus inquiétants que vous Joanni (1).

(1) Voir : Le sang et la Chair, même auteur, même collection.

Page 135 et 136 .
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La jeune fille aurait aimé vivre vers le milieu du siècle, où l'on pensait encore à soi, avant de penser au progrès. A soi et à sa famille, à ceux qu'on aimait. L'avion atteignait à peine la vitesse du son, l'automobile le cent à l'heure. On se chauffait au charbon et l'on parlait à peine de l'atome. C'était un monde heureux, où l'on travaillait pour s'offrir quelques plaisirs, que l'on goûtait le dimanche, par exemple, en allant au cinéma, au théâtre, au bal.
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4ème de couverture :
Tout avait commencé à Molan, un petit village haut-alpin. L'étrange Barrière de Lumière bleue séparait les deux Mondes totalement différents. Au-delà du Cercle existait un gouffre insondable où s'engloutissaient les Choses. Comme le Néant.
Mais ce n'était pas le Néant. La Onzième Dimension apportait un fantastique espoir à la race humaine, une nouvelle façon de vivre. Le temps de travailler, de manger, de dormir, semblait terminé. L'Homme n'avait plus besoin de rien. Il se libérait totalement de lui-même et des servitudes de sa civilisation.
Le Paradis semblait descendu sur la Terre. Mais n'était-ce pas un monde de fantômes ?

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le petit village de montagne se retrouve isolé par une étrange barrière de lumière ...
le journaliste Joë Maubry Et son collègue Merket se rendent sur les lieux pour voir ce qui se passe ...
Ils vont découvrir que dans le village on a plus besoin de manger , dormir et que l'on peut vivre sans rien faire ...
Les Yozz , une race extra - terrestre est responsable de ce fait par le rayon " Pulsa"...
Avantage ou inconvénient pour notre monde ....? Plus besoin de produire , rester oisif ou continuer le modernisme au risque de tout détruire ....
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