Ne croyez pas que cette existence parallèle soit pénible. J'ai, comme les autres, des moments heureux. Des moments joyeux, qui ont toute l'apparence du bonheur. A me regarder, on pourrait m'envier. Je ris, j'ai les joues rose, je bronze, je m'enivre, je jouis, j'invente, mais ça ne sert à rien puisque je suis morte.