Il se remémora Abou Simbel avec plus de quarante-cinq degrés à l’ombre et une fatigue extrême qui enlevait à tous l’envie de travailler. Et quand arrivait le soir, après un superbe coucher de soleil sur le lac Nasser, on grelottait sous les tentes, et les nuits n’apportaient pas le repos si nécessaire.