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3.84/5 (sur 162 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Madeline Sheehan est une auteure de romance contemporaine.

Elle est née et vit à Buffalo, New York, avec son mari et son fils.
Elle écrit depuis qu'elle a sept ans.

site de l'auteure:
http://www.madelinesheehan.com/

page Facebook:
https://www.facebook.com/MadelinesheehanBooks?fref=ts

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Bibliographie de Madeline Sheehan   (6)Voir plus

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
J'avais cinq ans lorsque j'ai rencontré Deuce, il en avait vingt-trois. C'était le jour des visites à la prison de Riker. Mon père, Damon Fox dit "le Prêcheur" et président du club de motards des "Silver's Demon's" de New York avait écopé de cinq ans pour agression et usage d'une arme mortelle. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait de la prison, et ce ne serait pas la dernière. Les Silver's Demons étaient des criminels reconnus qui vivaient selon le Code et n'en avaient rien à foutre de la société moderne et tout ce qu'elle implique.

Je n'ai jamais oublié le jour où Eva a débarqué dans ma vie complètement foireuse, faisant virevolter ses couettes, des converses aux pieds et partageant ses cacahuètes avec moi. Elle ma dérobée en un instant toute la décence qui me restait, c'est à dire peu mais elle me l'a prise putain de merde et je lui appartient depuis.
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Kami mit Cox à la porte – parce qu’il avait eu une drôle de façon de regarder une caissière au supermarché. Ce qui interpellait surtout Deuce, c’était de savoir comment elle était parvenue à entraîner Cox dans une grande surface. 
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Je n'ai pas toujours été brisée; nous sommes tous nés purs. C'est notre voyage qui nous pèse et nous pousse à la dérive. Nos erreurs nous accablent.
Et nous croulons sous la culpabilité et la honte, nous terrant un peu plus au fil des épreuves. Il ne dépend que de nous de nous en sortir et d'accepter nos fautes, nos imperfections, mais aussi celles de ceux que nous aimons.
Afin de retrouver le chemin dont nous nous sommes éloignés.
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Lovée dans les bras de Deuce, je le contemplais. J’avais du mal à fixer mon regard, tant mon corps était épuisé. Il me caressa le visage, sa main descendit le long de mon cou jusqu’à mes seins.
Je m’arquai de manière à ce que nous soyons encore plus serrés.
— Bon sang, grommela-t-il, titillant du pouce mes tétons, les faisant durcir.
Son autre main vint glisser sur mon ventre, où ses doigts en dessinèrent la courbe.
— Je sais que je ne mérite rien d’aussi doux que toi, murmura-t-il sombrement, sa main à présent située entre mes jambes. Tout ce qu’un homme a à voler pour l’avoir, il ne le mérite pas.
— Cela, tu ne l’as pas volé, soufflai-je, me tortillant contre ses doigts. Je te l’ai donné.
Une lueur d’amusement enflamma ses yeux bleus.
— Naïve que tu es, murmura-t-il. Je t’ai volée il y a longtemps. À peu près au moment où tu faisais de même avec moi.

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Ripper, lui, le vit et sut qu'il était sur le point de perdre la vie, totalement impuissant.
Il éprouve au plus profond de lui, au-delà de sa terreur, un soudain sentiment de paix. Ouais, Danny allait mourir, mais il n'aurait pas à vivre un seul jour sur terre ou en enfer sans elle. Ou Mama Vi l'achevait ensuite, ou il s'en chargerait lui-même.
Cette certitude - savoir que tout était fini, qu'il suivrait Danny n'importe où, et que même dans la mort ils ne se quitteraient jamais - lui procura apaisement et sérénité.
Ce qu'il partageaient durerait pour l'éternité.
[...]
IL finirait sa vie en homme meilleur.
Danny l'avait rendu ainsi.
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En ce qui me concerne, mon deuxième amour s’est porté sur un visage couvert d’abominables cicatrices, une véritable vision de cauchemar, le genre de monstruosité dont les mères éloignent leurs enfants. Des entailles ignobles, en dents de scie, marquaient sa peau depuis le haut du crâne. Elles passaient ensuite sur son œil droit qui avait été arraché de sa cavité par une lame crantée. Les cicatrices se poursuivaient sur sa joue, par-dessus ses lèvres et le long de son cou, pour finir en haut de son épaule. Sur son torse, c’était cent fois pire, les balafres s’étalaient à perte de vue.
— Ma puce, dit-il d’un ton bourru. Les hommes comme moi n’ont rien à faire avec des filles de ton genre. T’es un sacré canon, et moi, je suis moche à faire peur et à mi-chemin de l’enfer.
Mais il se trompait.
La beauté est partout. Même dans l’écœurant. En particulier dans l’effroyable.
Parce que sans laideur, il n’y aurait pas de beauté.
Parce que sans beauté, nous ne survivrions pas à notre douleur, notre peine et nos chagrins.
Et dans le monde dans lequel je vivais, dans celui qu’il habitait, monde secret entre les autres, où la cruauté et le crime étaient présents en permanence, monde froid empli de désespoir et de mort, il n’y avait presque rien d’autre que la souffrance.
— Peut-être que tu n’es pas beau comme avant, ai-je chuchoté en touchant sa joue dévastée, mais tu le restes malgré tout. À mes yeux.
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" Les descendants de Deuce n'étaient bons qu'à ça... vous faire souffrir.
Tous les enfants West se ressemblaient, quelle que soit leur mère. Cage, Danny et Ivy étaient blonds, avec des sourires à fossettes. Les filles avaient de grands yeux bleus et des lèvres pleines. Quant à Cage... Hum. HUM.
C'était un canon. Et un salaud.
Tel père, tel fils."
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« — Chase, ronronnai-je. Tu veux savoir pourquoi tu n’auras jamais cela ? lui demandai-je en désignant mon corps.
— Dis-le-moi, je t’en prie, répondit-il, les yeux fixés sur ma poitrine.
— Parce que, chéri, je suis une chatte sauvage et qu’on ne peut pas acheter un tel animal. Les chattes sauvages n’aiment pas qu’on leur jette de jolies choses et qu’on s’attende en retour qu’elles dansent la samba sur la queue de quelqu’un. Les chattes sauvages ne concluent pas de marché. Elles vivent libres, pour elles-mêmes, et le font où cela leur chante – un lit, un canapé, le coffre d’une voiture, contre le mur d’une ruelle – et en rient tout du long. Je te connais depuis un moment maintenant, Chase. Je sais que tu n’as jamais connu de chatte sauvage, et que tu n’en connaîtras jamais. Les chattes sauvages ne se tapent pas de mecs coincés. Et il est plus que sûr qu’elles n’aiment pas les boxers en soie. 
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"- On descend, fit Danny d'un ton rieur.
- Mais je ne veux pas rater toutes les conneries que Tegen va lui asséner, se plaignit Ripper joyeusement.
- N'en perds pas le sommeil, lança brutalement la jeune femme sans quitter Cage des yeux. Je n'ai rien à dire à Deuce Junior."
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— J’ai bien remarqué comme tu la matais ! Jamais tu ne m’as regardée de cette façon ! Jamais !
— Je t’ai jamais accordé une attention particulière car t’es pas grand-chose de plus qu’une timbrée.
Elle se précipita sur lui, faux ongles en avant. Il l’attrapa par les épaules et la jeta contre la voiture.
— Dégage ! hurla-t-il.
— Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? exigea-t-elle de savoir. Qu’est-ce qu’elle a que je n’ai pas ?
Il la lâcha et s’éloigna.
— Qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? ricana-t-il. Tu n’es pas elle, voilà ce qui cloche. Qu’est-ce qu’elle a de plus ? Moi, idiote, moi ! Toi, tu ne m’as jamais eu.


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