Les jeunes s'en sont pris aux immeubles, aux abribus, aux voies de chemin de fer, aux poubelles, aux vieux, et même aux platanes. Mais jamais aux lampadaires. Bizarre. En même temps, je comprends : un lampadaire sans électricité, on ressent de l'empathie, ça calme la rage, et toute une enfilade de lampadaires éteints, c'est comme un jardin zen.