Il n'est pas nécessaire de haïr l'islam ou les musulmans pour comprendre que l'auteur du Coran envoie les incroyants en Enfer sur la seule base d'une juridiction criminalisant les convictions illicites.
À partir du moment où elles deviennent la force culturelle dominante dans une communauté humaine donnée, les paroles de ce livre (le Coran), paroles d'un Dieu Suprême qui ordonne sans jamais recevoir d'ordre de quiconque, finissent toujours par produire les mêmes résultats, partout dans le monde.
IL ETAIT. UNE FOI, L'ISLAM..., je l'ai écrit dans une France où les gens qui osent critiquer cette religion en public courent parfois le risque de s'attirer de très gros ennuis. Dans le meilleur des cas, ces gens pris au milieu de disputes virulentes qu'ils n'espéraient peut-être pas provoquer tenteront de se disculper d'accusations de racisme, de xénophobie ou de néo-fascisme. Dans le pire des cas, la force des mots ne suffira pas à venir à bout d'assaillants bien décidés à venger l'affront de la critique orale en cognant.