A partir de là, je n’ai plus d’images, rien que des sons et des paroles, et la sensation de mouvement lorsque ma mère me traine par le col de ma chemise de fête jusqu’à la chambre. Le bruit du tissu qui se déchire, de la porte qui claque, de la clé dans la serrure. La voix de mon père qui dit : Tu y es allé un peu fort, quand même.