Plus qu’ailleurs on sentait à Florence la puissance de la vie ; on sentait battre, vibrer et frémir la ville de porte en porte. On y sentait l’art également, la présence permanente et vitale de l’art. Les visages et les gestes se transfiguraient dans cette atmosphère comme s’ils eussent eu besoin du fond familier de la peinture ou du modelé des marbres et des bronzes pour s’y découper avec une intensité favorable