Je croyais que la littérature me permettrait d’atteindre la tristesse visqueuse du monde, le rivage désenchanté d’un marais absurde, un animal immonde dans mes mains, aussi sauvage que le trou noir de ce corps qui me fait ręver.
Il n’était pas soűl, mais il n’était pas non plus dans la logique du Gijôn ni dans l’embarras de son collčgue qui lui répondait par des phrases insaisissables.