Mao Nanami

Déjà moins intéressant que le tome 1, cette histoire met en scène un personnage principal qui commence à être un peu trop pathétique et loser pour véritablement être attachant. Ce qui était mignon et qui attirait l'empathie dans le tome 1 devient plutôt lourd dans ce tome-ci. J'espère que cela se replacera dans le 3e tome, car autrement, c'est cliché, énervant et plus sympathique du tout.

J'ai bien aimé ce premier tome de la série, ce manga est moins cul-cul qu'il n'en a l'air. Les thèmes de la solitude, des préjugés et du premier amour sont abordés avec doigté. Je crois que les adolescents vont adorer cette histoire entre un geek (je ne me souviens plus du terme japonais, je ne suis une néophyte dans le domaine) victime d'intimidation et une jolie adolescente ayant à tort une réputation sulfureuse.

Real girl est une des rares séries de grande qualité malgré certains événements qui se répètent, qu'on retrouve, où les personnages ne vont pas me décevoir en tant que personne.

Où de l’honnêteté et de la sincérité qui font un bien fou transparaisse. Les personnages secondaires sont également bien développés. Igarashi et Tsutsui ne veulent pas de la fête culturelle, chacun a ses raisons. Mais les pauvres vont devoir y prendre part activement.

Un concours de miss va également se dévoiler.

J'aime le franc parler de Igarashi, qui est vraiment quelqu'un à connaître

N'aimant pas ce genre de concours futile basé sur le physique, je suis ravie qu'elle soit du même avis XD.

C’est toujours un grand plaisir de retrouver un tome de Real Girl et nos jeunes amis. Iroha se confie à Ishino. Iroha cherche quelques conseils, elle s’en veut de ce qu’elle ressent, elle aimerait interdire à son homme de parler à d’autres femmes, mais elle sait aussi que cela ne se fait pas. Enfin, particulièrement à Ayado, avec qui il semble très bien s’entendre, et pour cause tous les 2 sont des geek, ils ont plein de sujets de discussion en commun, une bonne entente, qui met les nerfs à vif pour Iroha. Elle aimerait lui parler mais ne sait pas comment. Quand à Tsutsun, il ne voit absolument rien, ni où est le mal. Iroha aimerait qu’il ne soit pas aussi gentil avec tout le monde, que Ayado ne soit pas aussi gentille, elle a du mal à dominer les sentiments qui naissent en elle. Ayado est très touchée par le groupe que forme nos amis, elle les envie, elle se demande comment Tsutsun qui est plutôt comme elle est parvenu à un tel but. Quand elle tente dans sa classe de se rapprocher, elle s’y prend mal, ne les intéresse pas, et échoue totalement. Aussi touchante qu’énervante, bien que ses doutes soient compréhensibles. Pour ne rien simplifier, Ito, avec ses oreilles de chat aimerait lui se rapprocher plus d’Ayado. C’est dans ce capharnaüm, que nos jeunes amis tentent de faire au mieux. Ils passent du temps ensemble, mais il est aussi question de pique-nique, relooking, gagner de l’argent avec un petit job pour acheter quelque chose qui nous fait envie, camping. D’ailleurs Tsutsun accepte la proposition de camping à reculons, tellement il a de mauvais souvenirs des classes vertes, alors qu’est-ce que va donner cette nouvelle expérience mais bien entouré par ses amis ? Que va faire Iroha ? etc. Un tome qui passe encore une fois bien trop vite, nous en redemandons à la fin, mais il faudra attendre la sortie du prochain tome prévue pour le mois de juin.



Sur la jolie couverture, nous voyons Tsutsun et Iroha dos à dos et leurs mains ne se joignent pas. Le tome peut être éprouvant avec tout ce capharnaüm, mais tout est bien et joliment capturé, avec de jolis réflexions et questionnements.

De plus, passer du temps avec des amis, c’est l’occasion d’ouvrir ses horizons.
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Nos charmants couples avancent autant qu’ils reculent. Ils sont tous toujours aussi touchants, et parfois un peu perplexes et perdus face à certains évènements, voire face à leur situation.

Ils adoptent quand même tous la mentalité de profiter de l’instant présent.



Sur la couverture Tsutsun porte Iroha avec tendresse en posant le regard sur elle. Iroha veut passer toute une journée avec lui, rien qu’avec lui. Elle veut partir en voyage avec lui : 2 jours et donc une nuit aussi.

Tsutsun de son côté va autant paniquer que penser à programmer tout le séjour en prévoyant le moindre imprévu.

Il est tout prêt de se raviser car l’idée de passer la nuit avec elle, et de ce qui pourrait se passer, lui fait peur.

Alors vont-ils partir ? Où ? Comment cela se passerait ? Ont-ils dit la vérité à leurs parents et quelles seront leurs réactions ?



Du côté d’Ayado et Itô se préparent une visite au domicile d’Ayado, où Itô en profiterait pour se présenter à ses parents. Lui aussi a quelques inquiétudes de se retrouver seul à seul avec Ayado dans sa chambre.



Le petit frère de Tsutsun, Kaoru, vient demander la permission de sortir avec Anzu à son frère, qui le prend assez mal. C’est également l’occasion d’en découvrir plus sur la famille de Mitsuya Takanashi, ainsi que sur son passé. Parfois, c’est compliqué, et des blessures restent.

Ishino est souvent très présente pour lui, mais elle est aussi amoureuse de lui. Seulement, il ne peut pas se permettre éternellement de jouer avec ses sentiments non plus.



Les coeurs balancent, et ce n’est pas toujours facile. Les imaginations s’affolent. Il faut faire des choix, et l’étape suivante peut faire peur.

Quel avenir pour eux ?



Le graphisme est toujours aussi plaisant, ainsi que les illustrations, et leurs sentiments sont bien capturés, y compris la sueur de Tsutsun quand il se met à paniquer.

Un tome touchant et attendrissant, avec des moments de rire, mais également des choix pour tous nos couples.

La fin donne envie de lire vite la suite.
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Real Girl nous revient avec son neuvième tome. Les choses se sont stabilisées, remises en ordre, les couples sont formés. Chaque couple évolue à son rythme, et ce n’est pas toujours facile, surtout avec cette tendance de se comparer, d’avoir du mal à parler franchement avec l’autre, nous ne sommes donc jamais à l’abri de malentendus. Le tome va nous permettre de suivre la formation d’un nouveau couple, avec toutes leurs maladresses. Mais également de revenir sur le passé d’Ayado, comment les choses ont brusquement changé pour elle, au point qu’elle a fini par se renfermer dans sa coquille, mettre une carapace. Elle a été confrontée à la médisance, malveillance des gens, qui la jugeait notamment sa passion pour les mangas, et cela l’a profondément marqué. Jamais, elle n’aurait pensé pouvoir vivre un véritable amour en 2D. Mais au-delà d’Ito, Ayado, et Tsutsui qui sont des otaku passionnés, pour les autres jeunes gens ce n’est pas forcément plus facile, de mettre le doigt sur ce qu’on ressent, sur ses sentiments, de les assumer, et les vivre pleinement.

Real Girl permet vraiment de suivre différents personnages, et les liens entre eux, cela lui donne une force à part. A part les adolescents, nous allons aussi suivre un tout jeune couple de primaire, qui va notamment se confronter au grand-frère de la jeune demoiselle. En tout cas, ces petits affirment haut et fort leur tendre affection, et ils ne voient pas pourquoi ils ne pourraient pas passer du temps ensemble. Ce n’est d’ailleurs pas le seul grand-frère qui se montre très protecteur et un brin médisant. Ishino se sent seule, comme elle n’est pas en couple, elle tente de provoquer les choses, et se mêle toujours de situations, mais également toujours prête à défendre ses amis et les aider. Tsutsui et Iroha sont joliment enlacés sur la couverture, et continuent leur belle histoire. Tsutsui s’inquiète de certains éléments, et qu’Ito le devance sur certains plans. En tout cas, les pages défilent toujours comme un rien, car la fin du tome arrive brutalement, et elle donne envie de lire la suite.
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C’est toujours un plaisir aussi exquis de retrouver Real Girl. Regardez moi ces deux là qui font la couverture.

La fête du lycée est finie, la vie normale peut reprendre son cours. Youhou !

Real Girl sait ne délaisser aucune personne, et toujours nous surprendre, de tout avec un trait graphique très agréable.

C’est assurément une pépite, même s’il a l’air assez commun à la base.

Dans ce tome, Ayado et Itô sont embarrassés par la situation et se comportent avec grande maladresse.

Ishino a toujours autant un tempérament de feu, et est très direct, mais ça fait du bien aussi.

Hikari et Iroha vivent toujours un bel amour, et cherchent des moments à passer ensemble. Et finalement, ce qui va menacer leur bonheur c’est les parents de Tsutsun. La mère est devenue une femme au foyer, elle fait quand même de l’exercice, voit

des amis. Et son père est toujours occupé au travail, passionné par son travail, qui est assez original sur le coup.

Nous allons revenir dans le passé pour les retrouver jeunes, et voir une partie de leur vie, de leur rencontre.

Nous remarquons aussi à quel point le père de Tsutsun et Tsutsun se ressemblent terriblement, et combien leur comportement est maladroit, et surtout quand le père se montre apathique, à se demander comment il a pu défendre sa carrière.

Le couple des parents de Tsutsun est menacé suite à un soupçon, une autre femme, le tout va très loin, et les deux garçons voient leur famille s’embraser, mais également la menace planée de devoir déménager et de s’éloigner de leurs amoureuses.

Le tout est fait de manière touchante, sincère. Il y a également des malentendus, de la maladresse. Et n’oubliez pas que le père de Tsutsui lui ressemble terriblement.

Mais je vous laisse le plaisir de découvrir le fin de mot de l’histoire, et celle des parents, et des répercussions, et également tout le mal qu’il se donne pour ne pas avoir sa famille disloquer.



C’est original d’y avoir mêlé les parents de Tsutsui, de plus cela offre une belle réflexion sur s’aimer à travers les années, et également sur ce qui passe génétiquement et /ou voire par normalisation (le fait de se fréquenter, vivre ensemble).



Un shojo en 12 tomes à ne pas rater en ce qui me concerne 🙂 ❤
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C’est avec plaisir que nous retrouvons un nouveau tome de Real Girl, qui exploite et capture joliment les tourments de la jeunesse, les relations amicales et amoureuses. Nous nous concentrons sur les personnages, l’expression de leur visage et leurs efforts, quitte à avoir des cases qui semblent un peu vide par moment par ailleurs. Au début du tome, nous allons savoir qui est ce jeune homme, qui n’accepte pas la relation de Iroha et Tsutsun, et le fait réfléchir sur sa légitimité, la légitimité de leur couple. Le nouveau personnage est très désagréable, mais il peut également se montrer juste, gentil. Et finalement, il s’inquiète surtout pour Iroha. Tsutsun saura aussi nous surprendre positivement en agissant, il a vraiment évolué et acquis des points d’expérience. Seulement, en voulant un peu trop aidé son ami, il pourrait créer la situation contraire et l’énerver. La situation est très délicate vu ce qu’Ayado ressent pour lui. Bref, Itô va devoir lui aussi faire des choix, et acquérir de l’expérience. Dire que ni Tsutsun ni Itô n’auraient pensé pouvoir s’intéresser à une fille réelle, et pas en 2D. Tsutsun veut faire plaisir à Iroha, mais en même temps, ironiquement il passe moins de temps avec elle, et elle se questionne. En tout cas, tous les deux semblent sûrs de s’aimer et de vouloir passer du temps ensemble. Ils sont très mignons. Ce tome nous fait aussi un peu réviser notre anglais, mais je vous laisse découvrir comment. Est-ce que Tsutsui arrivera à tenir tête à son nouvel opposant ? Est-ce qu’il arrivera à se faire accepter ? Est-ce qu’Itô va réussir à déclarer son amour à Ayado ? à l’inviter ? Et comment se porte Arisa et ses amours ? Elle, qui sert souvent de conseillère dernièrement. Encore une fois, la lecture du tome passe très vite et nous sommes déjà pressé de lire la suite. Ce tome suit son cours, nous sommes content de voir l’évolution de certains personnages, mais il n’a rien d’extraordinaire non plus. Dans ce tome, nous pouvons dire classique mais efficace.
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Avec ce troisième tome nous arrivons au quart du manga, puisque le titre est terminé au Japon en douze tomes. Nous retrouvons ici, le pauvre Tsutsui qui doit une nouvelle fois faire face à des ragots et brimades à son sujet, alors qu’il n’a vraiment rien fait. En effet, à la fin du tome précédent, Mitsuya avait faire courir le bruit qu’on avait tenté de kidnapper sa petite soeur, et avait fait courir le bruit que le responsable était évidemment Tsutsui .



Il faut dire que Mitsuya n’accepte pas de se faire damer le pion pour sortir avec la belle Iroha et semble vraiment prêt à tout. Cette histoire d’enlèvement va malgré tout rapidement se conclure, et l’on va pouvoir passer à autre chose, avec par exemple une sortie pour Tsutsui et Iroha, lors d’un festival. Une sortie qui assez mal se passer car ce dernier ne va pas vraiment comprendre la jeune femme.



L’autre chose intéressante de ce troisième volume est la rencontre de Tsutsui avec une nouvelle protagoniste, Ayado, qui semble être la copie conforme de Tsutsui. Tous deux partagent les mêmes gouts pour les animes, les manga et sont assez asociaux. Il se comprennent donc très rapidement, et une amitié semble être en train des créer. Une amitié ? Ou plus ? c’est bien ce que se demande Iroha, qui commence à avoir peur de la concurrence, surtout si elle et Tsutsui n’arrivent pas à se comprendre.



La relation entre Tsutsui et Itô est également mise à l’épreuve, et c’est l’occasion pour la mangaka de nous offrir un long chapitre bonus et nous narrer la rencontre des deux amis, même si ce chapitre et un peu moins percutant que les autres.



Une fois encore Real Girl ne déçoit pas !

Si "Real Girl" est une excellente série, ce n'est ni pour la qualité de ses illustrations, somme toute très banales, ni pour la romance qu'elle met en scène, mais pour la façon dont elle dénonce l'hypocrisie sociale à travers l'amitié qui unit une petite poignée de lycéens marginaux. Et ce septième tome qui évoque la fête culturelle du lycée, qui n'a de "cultuelle" que le nom puisqu'elle est prétexte à l'organisation d'un concours de miss et à un maid café (tant que ça rapporte de l'argent aux clubs de lycée et de l'animation, après tout...) est un des meilleurs de la série. Bien sûr, la satire est à la fois réaliste et tous publics (toute impression de déjà vu dans la vie réelle 😂 serait purement involontaire...). Mais à travers Tsutsun l'otaku, Iroha, réduite à sa beauté alors que son franc-parler la rend fort sympathique, et toute leur bande d'amis, on assiste à une dénonciation vraiment réussie de tous les événements festifs qui sont de véritables fardeaux pour ceux qui ne correspondent pas aux normes ou / et refusent de s'y plier même l'espace d'une journée. On sent une part de vécu de la part de Mao Nanami, et comme j'aurais volontiers cherché un coin tranquille où bouquiner aussi 😄 je ne peux que comprendre et adorer cette série.


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Un tome très différent du précédent et que j'ai lu à la suite, le septième tome de "Real Girl" m'ayant énormément plu.

Dans le tome 8, l'histoire d'amour ou d'amitié entre Itô et Ayado poursuit son cours, mais ce sont surtout les parents de Tsutsui qui sont mis à l'honneur dans un volume qui fait presque figure de parenthèse. Le père de Tsutsui, qui travaille dans le commerce de la glue, s'investit à fond dans son travail, en vrai passionné. Il ressemble beaucoup à son fils et paraît avoir trompé son épouse. S'il divorce, la mère de Tsutsui risque de déménager et de s'installer dans l'île de Hokkaido avec l'un de ses deux fils... et Tsutsui pourra faire ses adieux à Iroha ainsi qu'à ses amis. Mais sa mère est têtue et son père est son portrait craché... donc comment les faire changer d'avis ?🤓

Voir un couple de quadragénaires au centre d'un shojo, même si ça ne dure que l'espace d'un volume, est plutôt original. 💕


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Si Tsutsui se demandait qui était le mystérieux beau gosse qui l'avait giflé à la fin du tome 5, je l'avais deviné, mais ça ne m'a pas empêchée d'apprécier ce sixième tome de "Real Girl" de Mao Nanami. On passe toujours un bon moment avec Tsutsui, sa petite amie Iroha et leurs amis. Ils ont tous du mal à communiquer, on ne sait jamais si leurs histoires d'amour vont aboutir ou pas, ils ont des centres d'intérêt différents, mais finalement c'est un manga sur l'amitié et sur le fait qu'on peut s'entendre malgré des différences a priori insurmontables et les préjugés que l'on peut avoir sur les autres. C'est aussi une série qui se lit rapidement. Bref, un shojo idéal pour un bon moment de détente, avec des personnages attachants et qui le deviennent de plus en plus au fil des volumes.
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Une série sur les ravages du harcèlement, sur la façon dont on se voit ensuite et dont on parvient ou pas à se construire, à se relever, à aimer et à se laisser aimer. Tsutsun rencontre son alter ego féminin, Ayado, une fille qui a les mêmes goûts que lui, qu'il juge bizarre et qui se juge elle-même bizarre. Tous deux se comprennent parfaitement mais il est bien sûr amoureux d'Iroha tout en se sentant en parfait décalage par rapport à elle, puisque c'est comme s'il était un crapaud amoureux d'une princesse (la métaphore est dans le manga). Et pour Iroha, la situation devient difficile à vivre. Ce shojo évoque la période de l'adolescence, quand on se construit par rapport à l'image que les autres nous renvoient, et il le fait de façon fort judicieuse, nous montrant jusqu'à quel point Tsutsui est devenu capable d'encaisser et de se mettre entre parenthèses. C'est un shojo qui sort des sentiers battus, à ne pas lire comme une simple romance, mais comme un miroir de ce qui se passe dans la plupart des salles de classe, et la mangaka en rajoute jusqu'à l'histoire bonus, histoire d'amitié entre deux élèves exclus par les autres.


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Nous retrouvons nos deux héros ( Oui je ne retient pas les noms dans les mangas ) qui on une relation assez particulière. Dans le tome 1 nous suivons les prémices de leur histoire et j'avais hàte de lire le tome 2 pour la voir évoluée. Et bien pas du tout, on se retrouve avec l'héroïne qui attends que le héros fasse un geste puis nous avons le héros qui est complément traumatisé dès qu'il a un contact physique avec cette dernière, donc on tourne un peu en rond. Malgré tout, les personnages sont attachant, il y a de l'humour et on passe un bon moment de lecture.

J'ai bien aimé ce manga, qui est à la fois touchant, tendre et drôle. En lisant que l'héroïne était très devergondée, je m'attendais à un manga érotique et pas du tout, c'est un vrai shôjo tout mignon, sans être niait. Le héros est touchant car il n'a pas confiance en lui, alors qu'il a plein de qualités et puis l'héroïne est attachante, car on ne sais pas grand chose d'elle, sauf que dérrière ses airs de fille facile, elle se sent seule, et tout les deux vont être lié par ce lien.

Un premier tome captivant, touchant et drôle. Avec en plus un mystère intriguant autour de Iroha.



Vivement la suite !!!

Alors que dans le premier tome, Tsutsui surnommé Tsutsun se posait beaucoup de questions sur le fait de sortir avec une fille, sur les changements que ça pouvait provoquer dans sa vie, sur le délai de six mois pesant sur sa relation avec Iroha... j'ai été très surprise de le voir affirmer au début de ce cinquième tome que jusqu'alors il pensait qu'une fois qu'on sortait avec une fille, c'était gagné. 😯 Comment ?!? Alors qu'au départ il émettait des doutes sur les sentiments d'Iroha et sa fidélité ? Alors qu'il y a eu tant de soucis entre eux ? Il a pensé, à un moment donné du manga (dans le tome 1 ? le tome 2 ?...) qu'une fois en couple, ce serait un long fleuve tranquille ? Comme on suivait ses pensées, je n'ai pas compris quand il a décidé que c'était le calme absolu. Or, c'est précisément à ce moment du cinquième tome, quand la cohérence psychologique du personnage de Tsutsui pose problème qu'on change de focalisation et qu'on revoit leur rencontre vue par Iroha, cette fois. 💏 C'était le bon moment pour la placer parce que la cohérence du personnage de Tsutsui s'effrite progressivement : entre le tome 1 et le tome 5, il y a des différences au niveau de sa psychologie. Trop aimant ou misanthrope ? Un peu compliqué à situer vu le glissement opéré depuis le quatrième tome.
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Et ainsi partirent-ils tous au camping...

Tome au rythme plus lent que les précédents. Takanashi m'a parfois fait rire parce qu'il ne sait pas du tout ce qu'il fabrique avec les geeks, que le plus souvent il les critique ou se demande ce qu'il fait là dans de petites bulles adressées à lui-même (et aux lecteurs 😎 ) , mais qu'en tout état de cause, Tsutsui a décidé de l'accepter dans sa bande composée de tous les jeunes, peu nombreux, qui l'acceptent. Dans les faits, Takanashi ne l'a jamais accepté et c'est même son pire ennemi dans la série mais... 🤣 par conséquent, le petit groupe se compose d'Ayano, de la même espèce que Tsustsun et amoureuse de lui, d'Itô aux oreilles de chat amoureux d'Ayano, d'Iroha la petite amie de Tsutsui, de Takanashi qui ne sait pas ce qu'il fait là mais est amoureux d'Iroha, d'Ishino qui est amoureuse de Takanashi. Et Tsutsui est très heureux de se retrouver avec ses cinq amis et de prendre soin d'eux 🤣😂 sans se rendre compte de tous les sentiments amoureux ressentis par ses copains (ou pas), de leurs crises de jalousie, de tout le bazar. Tranquille. 🌩☔
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J'avais compris "Real Girl" dans le sens "Fille réelle", IRL, par opposition aux filles virtuelles comme Ezomichi la magical girl dans le jeu préféré de Tsutsui. Mais Iroha n'est pas seulement la jeune fille qui sort l'otaku de ses jeux vidéo. Elle est aussi un personnage entier, "réel", dans le sens où elle n'accorde aucun crédit aux rumeurs. Elle n'a aucun préjugé et c'est de loin pour le moment le personnage le plus attachant de cette série. Là où tous les autres lycéens vus pour l'instant dans ce shojo sont obsédés par leur apparence, subissent le harcèlement ou harcèlent, essaient de se mettre en couple pour correspondre à une image sociale, Iroha obéit à ses propres codes et c'est tout à fait rafraîchissant. À côté de ça, Tsutsui, même laminé, au bout du rouleau, vu comme un lolicon ou un pédophile à cause d'un rival jaloux, ne parvient jamais à s'abstraire du regard que les autres posent sur sa relation avec Iroha. Il y a encore du boulot...

Un manga qui traite sans doute encore plus du harcèlement, de la rumeur et de leurs effets catastrophiques que de romance pour l'instant.


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Dans ce shojo, on suit l'histoire à travers le point de vue du garçon, Tsutsui, un otaku victime des rumeurs et des moqueries, complètement replié dans sa bulle et dans son univers, mais qui, lorsqu'il tombe amoureux d'une jeune fille très jolie qu'on voit souvent flirter et sur laquelle courent beaucoup de rumeurs, ne parvient pas à se départir de ses préjugés sur elle. Fille facile ? Dévergondée ? Comme on voit la situation à travers les yeux du garçon, on ne cerne pas totalement le personnage féminin et on pourrait penser qu'elle va trop vite ou qu'elle ne veut qu'un flirt, mais la focalisation interne fait justement tout le sel de ce manga dont les deux personnages principaux sont un couple de lycéens rejetés pour deux raisons différentes, mais on voit bien que l'un des deux a intégré tous les critères sociaux qui l'ont pourtant marginalisé. À noter que l'unique copain de Tsutsui a un look et un caractère très amusants. 🐹


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