La mobilité croissante des capitaux induite par le développement des marchés financiers globaux transforme l'équilibre des pouvoirs entre Etat et marché et génère des pressions sur l'Etat pour développer des politiques favorables au marché, en limitant les déficits publics et la dépense sociale, la baisse de l'impôt, la privatisation et la dérégulation du marché du travail.