Etant riche, il ne s’intéresse guère à la question argent et, d’ailleurs, il n’aime pas opérer. En fait, il a une marotte : il soigne dans son château, près de Paris, des fous et des folles que les familles lui confient, pour s’en débarrasser sans pour autant les envoyer à l’asile. Mais il n’essaie pas de les guérir. Il prétend que les fous sont heureux d’être fous et il agit en conséquence, je veux dire qu’il favorise, au contraire, leur folie, pour ne pas leur enlever leur bonheur.