La guerre à balles réelles n’était jamais très belle. Elle était quand même moins ignoble que la guerre avec des mots. Dans la première, quand on avait la chance de réchapper à la rafale du baptême du feu, on apprenait très vite ce qu’on risquait. On le savait d’ailleurs dès le jour où l’on franchissait la porte d’une caserne.