Nous, financiers, ne pouvons nous enrichir qu’en créant des bulles et en les faisant exploser. De même qu’un marchand d’armes ne peut prospérer que si des conflits éclatent. Tant pis pour les dommages collatéraux. Tant pis pour les pauvres. Pas de place pour les sentiments. Les victimes s’entassent, la finance passe.