Si en Europe certains affirmaient que le délit de faciès motivait une grande partie du zèle de la police, en Asie, le « délit de comportement » pouvait se révéler bien plus dangereux : couper la file pour gagner une place, fixer le regard du fonctionnaire, montrer de petits signes d’impatience, ou encore, manifester sa mauvaise humeur conduisait souvent aux pires tracasseries…