Assez! Trop crue, la morbide litanie, elle barbouille au noir le crâne le plus enragé à l’optimisme. Prenons garde, le lecteur doit être ménagé. Aux boniments, sa conquête! Je devrais donc patouiller la vérité, l’arrondir, la rendre présentable. Eh bien, tant pis pour le commerce, je préfère que le livre termine broyé au pilon plutôt que de le dénaturer à l’ignoble contrefaçon politicarde!