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Critiques de Marc Menant (13)
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L'homme qui croyait en sa chance

J’ai toujours eu un faible pour l’histoire des débuts de l’aéropostale. Pourquoi ? Sans doute est-ce le courage, la témérité et peut-être aussi le petit coup de folie qu’il a fallu à ces hommes (et ces femmes, elles étaient quand même quelques-unes) pour défricher le chemin des airs et tracer une route dans le ciel pour transporter le courrier au-delà des océans.



Même si je voue une profonde admiration pour Guillaumet, j’ai eu grand plaisir à me tourner cette fois vers Mermoz et à découvrir sa vie et ses exploits.







Mermoz et se cheveux au vent qui a inspiré Vol de nuit et le Petit Prince à Saint Exupery, autre grand aviateur.



Mermoz qui plus d’une fois à tutoyer les anges tant il a pris de risques, mais toujours la chance était sa copilote et le sortait de bien des épreuves. Pas seulement dame Chance, il y avait aussi son extraordinaire mécanicien, Jean Collenot qui réparait moteur et autres dysfonctionnements avec un élastique et trois bouts de ficelle. Un duo solide qui croyait l’un en l’autre et qui aurait quadriller le ciel dans tous les sens si on les avait laissé faire.







C’est le 8 février 1920 que Mermoz décroche son brevet de pilote, au bout de quelques heures de vol et de quelques crashes spectaculaires dont il sort indemne. Sa première destination, au service de l’armée, est Palmyre au Moyen-Orient. C’est là qu’il fera l’expérience de la dure loi du désert quand il devra poser son avion dans les dunes à cause du feu qui se répand dans l’avion. A son retour en France, il terminera son affectation à Thionville.



En 1923, enfin, il signe un contrat avec Latecoère à Toulouse pour devenir pilote sur des lignes commerciales.



Et comme les autres pilotes, Mermoz va connaître son lot de mésaventures et toujours dame Chance sera présente à côté de lui. Mais son rêve, ce pourquoi il se bat et envoie moult lettres aux constructeurs d’avions, c’est la traversée de l’Atlantique. Et même si Lindbergh en 1927 a réussi cet exploit. Il veut, lui, battre son record...







Quelle passionnante odyssée que celle de cet aviateur hors normes. Hors normes par ses qualités de pilote bien sûr, mais aussi physiques (grand, plus grand que la moyenne, fort, athlétique, inépuisable nageur...) Il avait un appétit aussi immense que sa passion du vol dans laquelle il n’hésitera pas à investir ses propres deniers, un amour incommensurable pour sa mère ! Sans oublier non plus son humanité, son amitié pour les autres pilotes, ses frères...



Cependant mon enthousiasme a été quelque peu adouci par l’écriture, le style de Marc Menant, par son obsession à inverser les mots ou à faire abstraction de certains autres: « Ne dura pas longtemps la lutte contre leurs pulsions... » « Honte son apparition sur le pont des premières... »



Bon je pinaille c’est vrai, car à côté de ça les exploits de tous ces hommes et femmes passionnés, prêts à offrir leur vie, qu’ils soient pilotes, mécaniciens, ingénieurs, chefs d’entreprise... sont extraordinaires et méritent l’hommage que leur décerne ici l’auteur.







Allô Papa Tango Charlie...


Lien : http://mespetitesboites.net
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L'histoire des grands destins

Il n'est pas inutile que certains se donnent la peine de rappeler au monde que notre France et notre Europe comptent des héros qui semblent de plus en plus oubliés, parfois mis sous scellés par les profs de lycée et collège pour ne pas se faire agresser ou décapiter.

J'ai souvent suivi sur CNEWS la rubrique de Christine Kelly et de Marc Menant : ce dernier est un conteur et un historien qui a n'a pas son pareil pour apprendre et faire aimer les grands evenements,de l'histoire. Alors c'est une bonne initiative d'avoir couché par écrit les différentes séries télévisées, avec anecdotes piquantes, souvent ignorées, qui sont assorties d'images, de tableaux, de belles planches pour colorer et animer le récit.

J'ai particulièrement aimé les passages fouillés et hauts en couleurs sur Napoleon et Jeanne d''Arc et l'attention portée à Beethoven.

Je suis étonnée que ce beau livre soit complètement passé inaperçu. Peut-être est-ce par idéologie politique qu'il demeure sous silence, ces deux excellents journalistes étant souvent menacés de mort pour leur courage et leur probité ?

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L'inquiétante histoire des vaccins

j'ai mis 0,5 parce que Babelio n'accepte pas les notes inférieures ou égales à zéro.



Ce livre est une grosse farce. Aucune rigueur scientifique d'un journaliste qui a autant de légitimité que Francis Lalanne pour déblatérer des bêtises sur la médecine. Monsieur dit vouloir "réfuter les travaux de Louis Pasteur et le consensus médical sur l'apport des vaccins à l'humanité", rien que ça !



Si ce livre poubelle a l'objectif de nous montrer qu'on peut vivre des centaines d'années sans vaccin, il nous montre en tout cas qu'on peut vivre 70 ans sans cerveau !



J'ai acheté ce livre par curiosité car j'aimais bien M. Menant à l'époque. Ce livre est aujourd'hui dans ma poubelle à recyclage.
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L'homme qui croyait en sa chance

Dans ce roman, l'auteur  nous fait partager la vie tumultueuse de Jean Mermoz et des pionniers de l'aviation : pilotes mais aussi radios, mécaniciens, ingénieurs, patrons qui ont oeuvré pour développer la Ligne, l'Aéropostale, toujours prêts à se surpasser, à risquer leur vie pour porter haut ses couleurs.



Mermoz croit en lui et en sa chance, frôlant sans cesse la mort, toujours prêt à relever un défi, à réaliser un nouvel exploit. Rien n'arrête sa fougue et sa soif de voler. Il vole de continent en continent, dans des coucous antiques, adulé par les femmes par sa taille, sa crinière blonde, sa force de caractère et son humanité.



J'ai aimé la description du personnage, de ses avions et de ses aventures, son amour phénoménal pour Mangaby, sa mère, son amitié avec Saint-Exupéry, Guillaumet, Daurat, etc...



Son enthousiasme, son courage, sa volonté de vaincre les éléments sont porteurs d'espoir et incitent à oser réaliser ses rêves.



Au départ le style de l'auteur m'a un peu dérangée : phrases courtes, sans verbe, virevoltantes et puis je me suis laissée emporter.



J'ai volé avec Mermoz dans sa carlingue, à découvert, senti les moteurs vibrer sous mes pieds, suis tombée en vrille avec lui, me suis relevée, suis repartie...



J'ai survolé la Cordillère des Andes, l'Atlantique, l'Amérique du Sud, dans des avions plus ou moins délabrés, testé les premiers hydravions, évité les obstacles, amerri, décollé, sauté en parachute...



J'ai été fière d'avoir participé au développement de la Ligne, un peu comme si j'avais participé à la construction d'une cathédrale...



Et d'avoir inspiré Tonio (Saint-Exupéry) pour Le Petit Prince...
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L'inquiétante histoire des vaccins

Autant l'avouer tout de suite que je suis plutôt bon public aux chroniques historiques de Marc Menant sur la prétendue chaine d'information du groupe Canal plus... J'étais... quand je regardais encore les chaines de télévision, il y a un peu plus de six mois environ. J'appréciais l'enthousiasme avec lequel il contait les journées particulières de tout un tas de gens qui, d'habitude, peuplent assez tristement les livres d'histoire. Sur ce bouquin, je vais être tout aussi clair et direct : ce n'est pas celui qui lui permettra d'être sélectionné par le jury du prix Nobel de littérature. Loin, loin de là.



L'ouvrage se divise en deux parties. Si la première est effectivement consacrée à l'histoire, ô combien inquiétante, des vaccins, en revanche la seconde apparaît comme un gros fourre-tout où il entasse ses lubies anti-médicales. Lubies est très péjoratif de ma part, j'en ai conscience mais je m'attendais plutôt, par symétrie et en pendant au schéma historique du vaccin, à un développement détaillé de l'histoire de la découverte du fonctionnement du système immunitaire. Ce qui semblait assez évident et logique du point de vue d'un plan raisonnable. Rien de cela, sur le sujet du système immunitaire, dans la première moitié, il faut se contenter d'une simple allusion à l'ignorance qu'en avait Pasteur. Pour le reste : tin-tin, rien ou quasiement, il y aura une nouvelle allusion dans un passage où il est question du microbiote intestinal.



Ceci dit, dans cette seconde partie qui me gène, je partage souvent son point de vue. Je suis bien d'accord avec lui sur le fait que lorsqu'on a un capital santé correct, il faut savoir le préserver et j'en ai profité pour réviser quelques notions de base. Mais la construction du livre est bancale et le titre à moitié trompeur. Sur les dix chapitres qu'il contient, cinq sont consacrés à la médecine en général et plus particulièrement à ses ratages. Sur la fin, entre l'effet placébo, l'hypnose et les miracles, j'ai l'impression de lire un extrait du Matin des Magiciens de Jacques Berger et Louis Pauwels, ce qui n'est pas une référence en matière d'objectivité. Ils y citent un type du nom de Charles Fort qui collectionnait les faits extraordinaires qui s'insèrent exceptionnellement dans le quotidien comme les pluies de grenouilles, et autres bizarries qui rendent le réel "fantastique". La démarche de Marc Menant s'apparente à ce genre de collection. Ce qui ne veut pas dire qu'il a tort surtout quand il présente le médicament comme un poison (et c'est loin d'être stupide, tout médecin digne de ce nom sait que la moindre des molécules actives est dangereuse) mais du point de vue de l'éloquence, le mélange des niveaux de sérieux affaiblit son argumentation. Et au plus on avance dans le bouquin, au plus ça se délite. On s'éloigne de plus en plus du sujet, jusqu'à finir sur l'importance de la joie de vivre et l'accomplissement personnel. La connexion avec l'histoire des vaccins m'échappe complètement.



Alors j'ai beau être un méchant complotiste moi-même qui daigne à peine rencontrer son médecin traitant (de très loin, au téléphone, voir d'un bout à l'autre d'un long couloir, derrière des masques dont un ffp2, le sien, pour un malheureux rhume accompagné de toux que l'hystérie collective a fait rentrer dans la catégorie "maladie mortelle" ("mortelle", certainement, oui mais pour mon job si j'avais fait l'erreur de ne pas la déclarer aux "autorités médicales" officielles) ; qui fuit le médicament comme la peste ; qui n'ose même plus toucher ne serait-ce qu'aux huiles essentielles ; là, je suis désolé de le dire, mais sur les derniers cinquante pour cent du livre, ce faiseur de salmigondis saucissonne les paragraphes pour remplir des pages jusqu'au format minimal qui permettra de le facturer vingt euros en supermarché (et c'est loin de les valoir). Il finit en apothéose avec l'hommage à son papa et les remerciement à son éditrice, le comble kitschissime des erreurs de débutant, j'ai cru rêver. C'est pourtant un journaliste de longue date ; qui a de l'expérience ; qui n'en est pas à son coup d'essai (je ne connais pas du tout le contenu de ses autres "ouvrages" mais au vu des titres, j'ai l'intuition que le bonhomme a recyclé la plupart des idées de ses précédents "récits" - je ne vais pas aller jusqu'à parler d'enquêtes, il ne faut pas exagérer).



Comment peut-on en arriver là sur un sujet si sérieux ? Quand on s'attaque à des figures aussi emblématiques que celles de Pasteur et du vaccin, il faut être soi-même inattaquable. Alors commencer avec une diatribe aussi caustique qu'enflammée et sulfureuse mais étayée et argumentée, pour finir en dentelle d'idées incohérentes et dispersées comme, par exemple, "les collections de mots dans des cahiers de vocabulaires", on nage la brasse coulée dans le ridicule ; on finit par torpiller le projet sensationnel de départ par une accumulation d'un peu n'importe quoi...
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L'inquiétante histoire des vaccins

„Tout bien portant est un malade qui s‘ignore“.

Marc Menant tout comme Jules Romain dans Knock fustige le monde médical et l’accuse d‘être responsable de tous nos maux.

Tout d’abord il déboulonne la statue de Pasteur, pourtant référence intouchable de la rigueur scientifique pour tout français Tout en lui concédant quelques avancées médicales, il l‘accuse d‘avoir mis dans la tête de ses contemporains et des générations qui vont suivre la certitude que pour prévenir des maladies il fallait recevoir des vaccins. Or ces vaccins sont non seulement inutiles, d’après lui, mais néfastes pour la santé.

D‘autre part la fréquentation régulière des médecins et la prise de médicaments génèrent l‘angoisse, qui elle-même engendre d‘autres maladies.

Seule une bonne hygiène de vie nous assure une santé florissante nous dit-il.

Les thèses de Marc Menant sont très hardies dans un monde où la médecine est un univers tentaculaire qui régit nos existences et peut même nous priver de liberté…

Cependant tout en reconnaissant les abus de l‘autorité des médecins, il est difficile de croire complètement que seule une vie saine a augmenté la longévité des êtres humains d‘aujourd‘hui et que

les progrès de la médecine n’y sont pour rien.

D‘autre part l‘esprit pétillant et imaginatif de l‘auteur le pousse à des originalités de syntaxe ( en particulier en mettant l’adjectif en tête de phrase) qui rendent parfois la lecture difficile voire acrobatique et discrédite la rigueur scientifique dont il se réclame.

Néanmoins, je ne regrette pas d’avoir lu ce livre qui nous alerte sur l’emprise du monde médical sur nos contemporains dont je n’avais pas conscience auparavant
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L'inquiétante histoire des vaccins



C’est un livre indispensable pour permettre de prendre du recul par rapport au matraquage médiatique mondial sans précédent concernant les vaccins contre le Covid 19. Mais c’est aussi un livre qui se lit avec plaisir, où l’on retrouve la verve du conteur qu’est Marc Menant. Il y aborde, pour commencer, les épidémies et les vaccins. Il dénonce les nombreux mensonges à propos des vaccins, en particulier l’imposture de Pasteur et de son vaccin contre la rage.





On apprend que les épidémies surviennent souvent dans les moments de changement climatique, de famine et de guerre. Et qu’elles se répandent par la malnutrition, le manque d’hygiène et la promiscuité. L’épidémie touche donc ainsi plus les classes populaires que les classes aisées. Existe-t-il un seul noble emporté par la peste de 1347? L’auteur n’en a trouvé aucun. Un autre point important mis en évidence, c’est qu’une épidémie s’arrête un jour, sans qu’on en comprenne très bien le mécanisme. Mais le vaccin n’y est pour rien. Souvent on vaccine après la fin de l’épidémie et on crie victoire, attribuant faussement au vaccin l’arrêt de l’épidémie. Ainsi en est-il de la polio dont la vaccination a été rendue obligatoire en 1964, alors que la maladie avait disparu.





Maladie par maladie, vaccin par vaccin, Marc Menant va enquêter sur les symptômes, l’organisation de la psychose autour de la maladie et le vaccin qui arrive comme le sauveur! Il va aussi compiler les effets secondaires des vaccins, souvent plus importants que les conséquences de la maladie en elle-même. Ainsi en est-il du vaccin contre l’hépatite B. 1300 personnes développent des effets secondaires graves du vaccin, alors que 152 cas aigus de la maladie avaient été recensés en 2004. L’auteur nous fait voyager au coeur de « la folie vaccinale » et se pose la question: « comment encore ranger la médecine parmi les sciences? ».





Puis, l’auteur élargit son étude en considérant les effets indésirables des médicaments, effets qui semblent en constante augmentation au fur et à mesure que de nouveaux médicaments apparaissent. Et leurs conséquences: les retraits de médicaments, très nombreux et toujours trop lents. En 2004 aux USA, il y a eu plus de décès liés aux effets secondaires des médicaments que de morts par maladies cardiaques ou cancers. L’auteur nous emmène alors dans « la folie des traitements ». Il parle des maladies créées ex nihilo par les laboratoires (l’hypertension et l’hypercholestérolémie dans leur définition actuelle, la TDAH…) et des dépistages qui « transforment donc les gens bien portants en malades ». Il conclut qu’une bonne hygiène de vie est primordiale pour rester en bonne santé, et donne d’intéressants conseils en la matière.
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L'histoire des grands destins

Une galerie de portraits de personnages ayant marqués l'Histoire (avec un grand H) narrée par le sémillant Marc Menant avec la complicité éclairée de Christine Kelly.

Ce mode de présentation est forcément frustrant car il ne permet que de survoler la vie et l’œuvre de chacun des personnages, mais il a l'avantage d'être facilement abordable et de permettre malgré tout d'apprendre certaines choses, même pour les lecteurs férus d'Histoire.



La lecture de cet ouvrage est à recommander aux adolescent victimes de l'abandon quasi total de l'enseignement de l'histoire.
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L'homme qui croyait en sa chance

Jean Mermoz, Didier Daurat, Pierre Latécoère, Antoine de Saint Exupéry ...

Des noms qui sont légendaires dans le monde de l'aéronautique et des noms qui me parlent en tant que Toulousain travaillant dans ce milieu.

L'auteur nous entraîne, au travers des yeux de Jean Mermoz, dans la folle aventure des pionniers de l'aéropostale. Héros pour certains de leurs contemporains, écervelés pour d'autres, ces hommes ont amené leurs pierres à l'édification du "village planétaire" à la sortie de la première guerre mondiale.

Ce roman biographique, nous donne un point de vue privilégié et quelques fois voyeur dans le monde de ces fous volants, avec un style qui de prime abord m'a un peu décontenancé voire refroidi, mais qui au fil des pages s'adapte très bien au côté tantôt solennel, tantôt voyou des aventures de Mermoz et ses compères.



Je recommande ce livre, tant pour l'Histoire qui y est contée que pour l'ambiance des années 20 et 30 en toile de fond.
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J'ai vécu le surnaturel

Le surnaturel ma toujours fasciner alors lorsque j'ai parcouru les livres d'une vente de livres à prix réduit je n'avais aucune attente. Je n'avait jamais entendu parler de Marc Menant avant de lire son livre: J'ai vécu le surnaturel. Dans ce livre on suit différente technique de relaxation amenant un bien être, c'est sûr que nous avons juste le point de vue de l'auteur. Celui-ci est court près de 373 pages dans un format plus étroit mais plus grand que le format poche. Durant ma lecture, j'ai aimé lorsqu'il mentionne le cas des rats momifiés dans le chapitre 11: Magnétisme et radiesthésie. Je vous souhaite une bonne lecture.
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J'ai vécu le surnaturel

Très intéressant. Tour d'horizon d'un journaliste novice qui "teste" de manière neutre et objective toutes les plus grandes sciences paranormales.
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La médecine nous tue

Un des rares journalistes (le seul ?) à avoir su, dès le début de la crise du Covid 19 apporter un discours différent de l'hystérie ambiante. Un discours fait de bon sens ou chiffre à l'appui il nous rappelait que non, non n'avions pas affaire à la peste noire ou au virus Ebola. S'ensuivait un décompte macabre, journalier du gouvernement...



Publier en 2008 ce livre nous fait comprendre que son scepticisme vis à vis de la médecine ne datait pas d'hier.

Hélas si j'ai apprécié le Marc Menant de 2021 tentant de faire entendre la raison, celui de 2008 est beaucoup trop manichéen.

D'abord le titre, sans concession et très "pute à clique" comme disent les jeunes mal élevés dont je fais parti, est plutôt mal choisi.

Puis le style d'une lourdeur abyssale qui se veut argotique, populaire, vif bref Célinien mais qui ne fonctionne pas dans le cadre d'un essai.

Sur le fond, il n'y a pas grand choses dont on ne se soit attendu : Rejet des vaccins, des antibiotiques, des produits laitiers, de l'alcool même modéré. le tout est peu convaincant, trop clivant, peu sourcé, ne recherchant pas une voit du milieu.

La promotion du sport et d'un mode de vie saint est faite, sans le côté donneur de leçon. Un bon point, mais j'insiste desservie par un style hors sujet.



Un ouvrage qu'on oubliera vite mais un personnage éminemment sympathique qui force le respect par l'âge et l'état de santé.
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L'homme qui croyait en sa chance

Il est normal que Jean Mermoz soit très présent dans notre mémoire nationale. Ce fut un très Grand monsieur. Outre ses immenses qualités de pilote c'était également un homme très généreux. L'auteur nous livre une anecdote édifiante à ce sujet. Jean Mermoz devant un homme désespéré, inconnu de lui, n'hésite pas à l'aborder et par sa grande générosité à payer ses dettes locatives afin qu'il puisse récupérer son enfant mais aussi à se démener pour lui trouver un emploi.

Si vous lisez ce livre vous trouverez d'autres faits de la vie très excitante de Jean Mermoz. Vous rencontrerez d'autres personnages bien connus comme Antoine de Saint Exupéry mais aussi ses collègues pilotes qui ont payé un lourd tribut lors des débuts de l'aviation.

L'auteur nous montre également le lien très fort qui unissait Jean à sa mère.



Même si je n'ai pas apprécié le style d'écriture de l'auteur je vous invite à lire ce livre. C'est un bel hommage à un grand pilote et un homme bon.



Je remercie Babelio et éditions Ramsay pour m'avoir permis de lire ce livre dans le cadre de l'opération masse critique.
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