Serge Gainsbourg a parlé de la gent féminine avec tendresse,humour,amour et, bien sûr, provocation:
"Disons que,pour la femme,je suis un mâle nécessaire et que, pour moi,elle est un bien inutile."
"Je préfère les jeunes filles.Leurs histoires sont plus courtes", confiait sournoisement Jacques Dutronc à un ami.
"Je me souviens parfaitement de vous,mais un moment de folie n'est pas un tître de reconnaissance."
(Casanova)
De Bernard Franck,pamphlétaire redouté et pourfendeur des "hussards" de la littérature,dans les années 1950:"Quand un homme n'est plus misogyne,c'est souvent qu'il n'aime plus les femmes."
Un jour,devant témoins,Marlène Dietrich tapota du doigt la tête de Jean Gabin:
-Ca sonne bien creux là-dessous! Es-tu sûr d'avoir un cerveau?
Et comme l'autre ne répondait pas,elle le rassura:
-Mais je t'aime tel que tu es!
Louis Brunel a toujours été jaloux. Marie-Françoise, son épouse, pense que la faute en incombe à sa mère, Geneviève, qui a trop couvé cet enfant unique. (...)
Lorsque la vie s'était chargée de lui donner les claques que sa maman n'avait jamais songé à lui administrer, Louis aurait pu ouvrir les yeux et adapter son comportement. Il n'avait pas fait le bon choix et, consciemment ou pas, avait continué à considérer que Maman ne pouvait pas s'être trompée. Le problème était donc chez les autres. (p.63)
"Dans tous les cas,mariez-vous: si vous tombez sur une bonne épouse,vous serez heureux;si vous tombez sur une mauvaise,vous deviendrez philosophe,ce qui est excellent pour l'homme."
(Socrate)
L’histoire n’est pas neuve. Les Égyptiens, les Grecs et les Romains de l’Antiquité se méfiaient déjà du 13, sans doute parce que celui-ci arrive… juste après le 12 qui, lui, faisait figure de nombre parfait. C’est ainsi que l’on compte notamment douze dieux dans l’Olympe, douze mois dans une année ou douze signes dans le zodiaque. Parallèlement, on note dans la Cabale, 13 esprits du Mal. Et pour trouver trace de l’Antéchrist dans L’Apocalypse, il faut aller jusqu’au chapitre 13. C’est comme ça qu’on finit par trimbaler une mauvaise réputation !
J’adore les histoires n’arborant pas une fin en béton sans discussion possible. Je raffole des récits – authentiques – laissant la porte grande ouverte à l’imaginaire, à l’existence d’un autre monde, parallèle, invisible, différent, meilleur ou moins bon, et même un peu de tout ça à la fois ! Oui, j’aime me poser des questions sur des récits en apparence peut-être un rien tordus, ou me laisser charmer par la poésie que dégagent des anecdotes mettant en scène des gens plus attentifs que la moyenne à un clin d’œil ou un sourire de la vie.
On ne put s’empêcher de laisser vagabonder les imaginations. Ainsi affirma-t-on dans le coin que la maison des Duplantoy avait été bâtie sur un souterrain reliant autrefois deux châteaux. Il était régulièrement emprunté par des sorcières qui finirent sur le bûcher dans le courant du XVIe siècle. Le rapport avec notre affaire ? L’esprit de ces créatures perverses traînerait encore dans les lieux fréquentés autrefois et serait toujours à l’affût d’un mauvais tour à jouer aux honnêtes gens…