Le problème est de savoir où commencer, parce que rien ne part du commencement, et quand c’est fini rien n’est fini, et il faut une préface à tout : une préface, une postface, un tableau d’événements simultanés. L’histoire est une construction mentale, dit-elle à ses étudiants. N’importe quel point de départ est possible et tous les choix sont arbitraires. Pourtant, il existe des moments clés, que nous utilisons comme références parce qu’ils brisent la continuité et changent le sens du temps.