Bernard Pivot : (...) Il lui avait dit que c'était comme avant, qu'il l'aimait encore, qu'il ne pourrait jamais cesser de l'aimer, qu'il l'aimerait jusqu'à sa mort."
Est-ce que vous, sur votre lit de mort, vous aurez une pensée pour l'amant, le premier ?
Marguerite Duras : C'est possible... (sourire,) C'est possible.
Bernard Pivot : Merci Marguerite Duras.
28 septembre 1984, Bernard Pivot, Apostrophes, Antenne 2.