Citations de Mari Okazaki (25)
Quand je dors, mes formes s'estompent mais mon cerveau fonctionne toujours afin que je puisse rêver. Je ne suis que la cicatrice du passé...
Où notre coeur se situe-t-il ?
J'ai toujours été convaincue que c'était dans la paume de la main. Elle peut se réchauffer ou diffuser une sensation agréable dans tout le corps. Dès que quelqu'un la touche, on le sent immédiatement. C'est de là que naissent toutes les émotions.
La terre n’a pas soif de sang des guerriers, mais de la sueur des hommes.
Un déclic poussé à un raisonnement peut changer une vie.
Les baisers et le sexe sont comme des marque-pages. On s'en sert pour signaler ce qui nous tient vraiment à cœur.
Ravaler des mots … peut complètement altérer jusqu’aux sensations.
Ce que je désire du plus profond de mon être semble ne jamais exister sous la forme que j’espère.
J'ai beau tendre la main...
...La distance ne diminue pas...
...Tout devient plus lourd...
...Et il m'évite.
Quel sentiment éprouve-t-elle, après avoir été ainsi abandonnée ? Une émotion si profondément enfouie... Quel mot pourrait venir combler le fossé des années passées ?
Depuis que je suis ici... Je sens Hiroyuki tout près de moi. Comme les pièces d'un puzzle... s'emboîtent... les unes dans les autres... nous comblons les creux de ces sept années. Nous assemblons les éclats de nos souvenirs, chacune à notre tour... pour recomposer un homme tout entier.
Cessez de croire … que le monde entier vous en veut.
Dans tout ce que je récolte, il n'y a aucune perspective d'avenir.
Quelqu'un qui n'a pas connu le succès quand il n'avait encore que la vingtaine, perdra de vue ses objectifs au fil des années ! Alors même s'il faut les pousser un peu, il est nécessaire d'aider les jeunes à trouver leur rythme et leur faire goûter au sentiment d'accomplissement.
Le jour où je me suis plongée dans son histoire… je suis tombée dans un trou. Un trou dans lequel j’étais incapable de me tenir droite, de toute ma hauteur. J’ai eu envie de le toucher. Je n’ai pas pu garder mes distances.
"Pourquoi tu n'as pas de petit ami ?" Cette question revient sans cesse. Les seuls moment où je me sens gênée de ne pas en avoir, ce sont ceux comme celui-ci.
- Je n'ai pas vu le temps passer !
Je suis contente d'avoir pu m'entrainer aussi longtemps !
D'habitude le gardien est obligé de me chasser car...
- Mr. Kobayashi... est ce que je peux fermer ?
- Oui allez-y
Le pire, dans la vie, c'est regretter de n'avoir rien fait... de ne pas avoir agi du tout. C'est toujours mieux de se bouger, même si c'est pour faire n'importe quoi.
Ce dont nous avions besoin, plus encore que les baisers, le shopping, la fugue ou l'aventure... et bien que plus l'école... c'était de nous tenir serrées, fort, l'une contre l'autre. Depuis longtemps on cherchait l'endroit où ensemble, enfin, on pourrait pleurer, dans les bras l'une de l'autre.
Cet amour envahissant, je ne savais pas quoi en faire... Alors je l'ai enfoui en moi, avec les pleurs et les mots.
Quand il pleut, j'ai l'impression que les lumières des bureaux s'adoucissent
Et comme la terre sera détrempée...
Je ne comprendrai plus rien...
Ni l'heure qu'il sera, ni où je serai...
Mes oreilles... J'ai l'impression qu'elles se bouchent, tout doucement...
Mais c'est que je ne comprends vraiment plus rien... Ou que je fais semblant, tout simplement ?