Simona n'était pas une femme intelligente, mais elle observait de près la vie des riches depuis des dizaines d'années et elle était capable de comprendre que, outre l'argent et les propriétés, l'éducation et la culture jouaient un rôle important. Pour cette raison, quand doña Manolita se mit à donner à son fils des livres pour enfants qu'il n'aurait jamais pu avoir autrement, elle pressentit que sa patronne servait finalement à quelque chose.