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3.85/5 (sur 96 notes)

Nationalité : Pays-Bas
Biographie :

Mariah Stone est auteure de romance.

Quand elle n’est pas en train d’écrire l’histoire de femmes modernes fortes qui traversent le temps pour se retrouver dans les bras de Vikings, de highlanders et de pirates sexy, elle court après son bambin et passe des soirées romantiques sur la mer du Nord avec son mari.

Mariah parle six langues, adore la série "Outlander", les sushi et la cuisine thaïlandaise, et dirige un groupe de lecture.

son site : https://mariahstone.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/mariahstoneauthor/

Source : www.audible.fr
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
— Je vais détacher vos mains maintenant, aye ? Mais vous devez savoir que ce château est pris, cela n’aidera point si vous essayez de résister. Je veux seulement vous emmener à votre famille. Il est probable que Robert Bruce les libère tous. Il ne veut faire couler plus de sang que nécessaire. Mais ce château lui appartient. Aye ? Il commença à défaire les liens à ses poignets. N’en croyant pas ses oreilles, Amy secoua la tête. — Vous croyez que je comprends un traître mot de ce que vous racontez ? Je n’ai pas la moindre idée de ce qui se passe ; tout ce que je veux, c’est retrouver ma sœur et sa classe. Ses mains étaient libres à présent et elle les frotta, appréciant le pur bonheur de pouvoir les bouger tandis que le sang rejoignait ses muscles raides. — Votre sœur ? Elle doit être avec les autres Comyn dans la cour. Il s’occupa ensuite de la ceinture à ses chevilles. — Je ne suis pas une Comyn. Je m’appelle Amy MacDougall. Ma sœur… Il se figea et planta son regard sur elle, ses yeux émeraude s’assombrissant et ses pommettes hautes prenant de la couleur. Amy se tut à la vue de l’intensité, non, de la haine, dans son regard. — MacDougall ? siffla-t-il. Amy déglutit. — Vous avez dit MacDougall ? la pressa-t-il en posant une main sur son épée. De la sueur perla dans le dos d’Amy. — On se calme, mon pote. Je n’ai rien fait de mal. Vous devez me prendre pour quelqu’un d’autre. Il la parcourut attentivement du regard, comme si elle était un prédateur qu’il devait étudier. — Je ne puis croire que j’ai une MacDougall en ma possession. — En votre possession ? souffla Amy. Elle ramena ses genoux vers elle pour détacher la ceinture, mais il posa ses mains sur les siennes. — Libérez-moi immédiatement. Je ne vous ai rien fait, ni à vous ni à qui que ce soit dans ce château. C’est vous qui m’avez agressée, attachée et laissée seule. Je vais rentrer chez moi. À vrai dire, je vais faire encore mieux. Je vais appeler la police et ils vous arrêteront. Je vais porter plainte, vous verrez. Il lui frappa les mains et retira la ceinture. — Essayez-vous de me duper, Amy MacDougall, avec vos mots étranges ? Je ne me laisserai point distraire. Il lui empoigna le bras et la releva d’un coup sec. — Et maintenant, je vous emmène au roi d’Écosse et il décidera que faire d’une membre du clan qui l’a poignardé dans le dos plus tôt dans l’année. Il semblerait que c’est la seule chose que savent faire les MacDougall : poignarder dans le dos et trahir. Amy l’écouta, bouche bée. Il la mena dans les escaliers et jusqu’au rez-de-chaussée. — Je n’ai rien fait. Je suis simplement en voyage scolaire dans les Highlands. C’est parfaitement ridicule. Cet étrange jeu de rôle…
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Les lèvres de Craig étaient tel du velours, chaudes et douces, et pourtant, son torse était dur comme la pierre et ardent comme une fournaise. Son cœur martelait vite et fort sous sa paume. Il sentait la peau propre, le musc masculin et comme les montagnes et la forêt après une pluie d’automne. Et le baiser… Oh, le baiser… Il déclencha une avalanche de picotements et une délicieuse brûlure dans ses lèvres. Il appuya un peu plus fort, ouvrant sa bouche de sa langue. Puis il la fit tendrement glisser contre la sienne, une fois, deux fois. Peut-être s’était-elle entendue gémir. Peut-être était-ce lui, mais la tête lui tournait et son corps entier s’enflammait. Son esprit fut saisi d’un passage à vide, des soupirs et des gémissements et des pensées très coquines l’envahissant. Des sifflements et des cris emplirent la pièce. — Aye, monte la MacDougall jusqu’à ce qu’elle ne puisse point marcher au matin ! cria quelqu’un. — C’est s’il a quoi que ce soit pour la monter, dit un autre homme. De gros éclats de rire jaillirent dans la pièce. Amy s’éloigna de Craig à la hâte, les joues en feu. — C’est fini ? demanda-t-elle à Owen. Retirez le ruban, s’il vous plaît. — Aye, répondit Owen avant de regarder Craig. Amy ignora les yeux de Craig, qui étaient posés sur elle avec une lourdeur semblable à celle du plomb. C’était vraiment une idiote. Ressentir de l’attirance envers lui, le laisser l’embrasser ainsi… Comme si c’était normal, comme si avoir des sentiments pour lui ne compliquerait pas les choses et ne rendrait pas son départ encore plus difficile
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Ce n’est pas difficile à comprendre. Mais si vous dormez ici, vous ne pouvez pas dormir dans le lit. Compris ? — Nous sommes mari et femme. Je suis en droit de vous prendre. Vous m’appartenez. Le sol trembla sous ses pieds et de la chaleur l’envahit. — N’y comptez pas. Vous avez promis de ne rien me faire contre mon gré. Je n’ai pas donné de permission pour du sexe. Je ne veux pas de vous, vous m’entendez ? Le visage de Craig se rembrunit. — Aye, Amy. Il s’éloigna, puis se tourna un instant. — Ne vous inquiétez pas. Je ne vous toucherai point. Ni aujourd’hui. Ni jamais. Il quitta la pièce, la laissant pantelante… et étrangement déçue.
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Amy préférait être minimaliste. Elle n’avait pas besoin de beaucoup ; vivre dans une petite maison et être sur la route dans les montagnes ou au centre avec son équipe à attendre un appel de sauvetage lui suffisait. Cela lui procurait une sensation de liberté, l’impression d’avoir une raison d’être. Ne pas avoir de toilettes ni d’eau courante ne la dérangeait pas vraiment. Elle n’était également pas difficile en ce qui concernait la nourriture. Le pire pour elle, c’était d’être coincée au Moyen-Âge et que personne ne viendrait la secourir.
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Lorsque la porte s’ouvrit, elle tourna sur elle-même et brandit sa lampe de poche comme si c’était une arme. Un grand guerrier avec une épée, une hache et tout le reste, entra. De l’étonnement traversa son beau visage. Puis un air menaçant tordit ses traits.
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" Aimer, c'est s'exposer au chagrin et à la souffrance. Aimer, c'était prendre des risques. Le bonheur était un risque."
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