Là où Vincent est bon, c'est quand il s'abandonne à montrer le monde tel qu'il est ou du moins tel qu'il le voit. C'est là que son amour pour la nature s'exprime, c'est là que les êtres, les choses, même les plus ordinaires, même les plus modestes, prennent une dimension immense et mystérieuse d'éternité. (p. 140)