Le ciel est énorme, beaucoup plus grand que la mer. Le ciel ne la touche pas, reste à distance ; et la côte, déjà, semble si loin, qu’elle comprend qu’on se noie de tant de solitude ; puisqu’il suffit de jeter un regard sur la terre, là-bas, sur les maisons, les terrasses et le glacier, pour se sentir abandonnée.