Nârâyana
Sur le serpent cosmique enroulé sur lui-même
Sortant de l’océan
Dans le silence infini qui fut à l’origine
Mollement étendu
Nârâyana rêve le monde qu’il s’apprête à créer
De l’ombilic du dieu s’élance
Gracile et odorante
Une fleur de lotus
Qui cherche la lumière