(...) les accrochages avec Jean-Pierre sont de plus en plus pénibles. J'en suis malade. Je sens bien que je n'ai pas entièrement raison. J'ai outrepassé mes fonctions. Ai-je le droit de m'introduire dans la vie d'Antoine ? D'essayer d'aider ses parents ? De m'en occuper le week-end et les jours fériés, de l'emmener partout avec moi ? Comment font les autres ? Ceux qui n'ont pas de passion ?
Ils dorment leur vie. Pas moi.