Nous sommes tous responsables de notre patrimoine, de nos traditions. Il en va de la musique populaire comme des gens qui nous entourent : c'est une fois qu'ils auront disparu que nous nous rendrons compte qu'ils étaient indispensables. Notre musique est comme les plantes vertes : faute de soins, d'eau, d'engrais, mais surtout faute d'amour, elles meurent.