« C’est trop, c’est beaucoup trop ! Vraiment, il ne fallait pas ! », répète sa mère un ton trop haut. Et, en remerciant ainsi, avec cet empressement gêné aux entournures – elle qui ne s’enthousiasme guère, d’habitude – elle entraîne sa fille avec elle dans cette médiocrité poisseuse de la toile cirée aux imprimés criards, du vieux lino imitation tomettes provençales, du gâteau fait maison pas très bien démoulé, pas parfaitement rond, des assiettes Arcopal aux fleurettes passées.