Marie-Saskia Raynal

Piouf ! Je ne suis pas mécontente d’avoir terminé ce livre tellement il était intense ! Avec l’apparition de Wyne et la découverte des Xenoi dans le tome précédent, l’histoire a pris une direction nouvelle et je savais que ça allait être difficile, j’appréhendais cette lecture qui allait tout chambouler. C’est peut-être pour ça que je l’ai repoussée si longtemps.



DanMachi de Fujino Omori est une saga que je suis avec plaisir depuis la parution des premiers tomes, j’avais tout de suite été conquise par le principe d’exploration de donjon, de combats entre Familias. Mais depuis le tome 9, toutes les cartes ont été redistribuées et c’était le flou quant à la suite. C’est le tome que j’ai le moins apprécié car je l’ai un peu subi.



Un effet boule de neige s’est installé. D’un côté les Xenoi se rebellent à juste titre et de l’autre, les aventuriers qui ignorent leur existence se défendent devant la folie qui se répand. Les deux camps ont raison. J’étais tiraillée par le même dilemme qui saisissait Bell. Un vrai sentiment d’impuissance s’emparait de moi et je n’ai pas aimé cette sensation.



On ne dirait pas comme ça, mais j’aime toujours autant cette saga ! Je comprends ce que l’auteur a voulu faire, je respecte ce choix qui rend l’intrigue plus sombre et en a fait un tome très violent. Je suis curieuse de lire la suite, on m’a rassurée sur le fait que l’ambiance, ou du moins la construction, redevient comme avant cette grande découverte, celle qui a bouleversé les certitudes comme un raz de marrée.



Bref, le 10ème tome de la saga DanMachi – La légende des Famillias de Fujino Omori m’a vraiment pesé. C’était une lecture difficile et très intense, mais nécessaire au déroulement de l’intrigue. C’est le tome que j’apprécie le moins mais mon amour pour cette histoire n’a pas diminué pour autant. J’ai même très hâte de lire la suite !
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Me voilà assez mitigée avec ce tome 10... Le début s'est très bien passé, j'aimais beaucoup ce nouvel arc qui se dessinait... Et puis, le chapitre de 120 pages est arrivé.... Oui, oui, 120 pages.



Vous le savez, j'aime énormément cette série depuis ses débuts, même s'il y a eu un couac avec le tome 8 qui, pour moi, n'apportait rien à l'intrigue de base. Néanmoins, j'ai continué, parce que le tome 9 a réussi à m'intriguer avec ce nouvel arc qui apportait un vent de fraîcheur à cette histoire qui commençait à tourner en rond.



Et puis le tome 10 est arrivé. Et là... Si le début m'a vraiment plu et m'a replongée dans cette ambiance que j'aime tant, je ne m'attendais cependant pas à avoir un chapitre de 120 pages... Si l'action était présente, il n'empêche néanmoins que 120 pages pour un chapitre, c'est trop. BEAUCOUP trop. Le lecteur a le temps de décrocher et d'en avoir marre de tourner des pages sans voir la fin arriver.



En tout cas, c'est ce qu'il s'est passé avec moi. Ce tome aurait pu être vraiment intéressant, parce qu'il promettait beaucoup d'actions (qu'on a eu, je ne dis pas le contraire). Néanmoins (et j'ai l'impression de me répéter, désolée), ce looooooong chapitre aura eu raison de moi. Une chose que je n'ai jamais faite avec cette série : j'ai lu les dernières pages en diagonale, tellement ces longueurs commençaient à m'ennuyer.



Et là, j'ai l'impression que cette chronique vous paraît négative, peut-être un peu, pour être honnête. Mais malgré ce long chapitre interminable, les idées étaient vraiment bonnes et auraient pu être prenantes et intéressantes en coupant en plusieurs chapitres, instaurant ainsi un suspense qui tient le lecteur. Alors qu'ici, j'ai plus eu l'impression que toute cette partie était vomie par l'auteur, posée là et basta.



Néanmoins, Bell, loin de sa Familia, est sensiblement différent. Plus adulte, plus réfléchi, plus lui, dirons-nous. Et j'ai apprécié cette évolution, car on a enfin un personnage adulte, qui prend lui-même ses décisions et qui ne se retrouve pas à retomber en enfance auprès de femmes qui prennent l'ascendant sur lui. Je ne dis pas que je n'aime pas sa Familia, bien au contraire, mais il y a vraiment une différence de caractère avec et sans elle.



​En résumé, un tome 10 qui dans l'ensemble aurait pu me plaire si le chapitre de 120 pages avait été coupé en plusieurs chapitres. J'ai vite décroché de l'ambiance de bataille que nous proposait l'auteur, car c'était trop long, trop dans la discussion et trop dans l'expectative. C'est dommage, car ça aurait été un tome avec beaucoup de potentiel ! Je lirai la suite, parce que je suis tout de mêle curieuse, mais en croisant fort les doigts pour que les chapitres soient moins longs et plus équilibrés...
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En commençant ce tome 8, j'avais de bonnes ondes. Je pensais que j'allais replonger avec bonheur dans cet univers si particulier... J'avais sans doute trop d'attente, parce que finalement, je l'ai trouvé très long, sans beaucoup d'action et avec des choix de l'auteur que je n'ai pas compris...



En lisant le résumé, on s'attend à avoir de l'action, des combats etc. Mais que nenni. L'auteur a décidé de tourner ce roman en format nouvelles et de nous offrir des romances qui sortent dont ne sait où, enlevant toute crédibilité à la série en elle-même. Les personnages ne sont donc plus logiques, tombent amoureux d'un autre personnage sans avoir eu de raison de le faire. En gros, l'auteur s'est essayé à la romance et pour moi, ça été un gros bide...



D'autant plus que certaines de ces nouvelles n'avaient aucun lien entre elle. Pas de fil conducteur qui nous ferait dire : "oh oui, j'avais pas du tout pensé à ça ! C'est bien joué". Non, au contraire, certaines étaient même inutiles, de mon point de vue. C'est vraiment dommage, parce que c'est un univers que j'aime vraiment énormément, mais je me suis sentie quelque peu flouée avec ce tome-ci. Je ne vois toujours pas ce qu'il va apporter à l'intrigue principale.



Et puis, cette guerre mentionnée dans le résumé est une vaste blague. Elle fait à peine 50 pages et est expédiée en deux temps, trois mouvements, sans réelle logique. Après, c'est vrai que dans les pays asiatiques, la perception des choses est différente de chez nous, mais cela n'empêche pourtant pas de rester logique. Et ici, ce tome en a cruellement manqué, de mon point de vue.



​En résumé, un tome qui m'a déçue par sa construction. Des nouvelles qui n'avaient pas lieu d'être, des romances sorties de nulle part, enlevant toute crédibilité à l'univers pourtant complètement dingue. Des personnages aux réactions totalement incongrues et des nouvelles qui n'ont pas forcément de fil rouge... Bref, une déception et je suis la première triste de le constater. Je lirai tout de même la suite, parce que l'histoire principale reprend, mais honnêtement, je n'ai toujours pas compris le but de ce tome 8...
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Je sais qu'à chaque chronique je vous dis que ce tome est meilleurs que les précédents, mais c'est tout simplement parce que c'est la pure vérité ! A chaque fois que je pense que Fujino Omori ne peut pas faire mieux, il me détrompe en sortant la grosse artillerie.



A peine quelques jours se sont écoulés depuis la découverte des Xenoi par Bell et sa Familia. Wyne a retrouvé les siens et ceux-ci sont en route pour un de leur autre camps, situé plus profondément dans le Donjon. Malheureusement, son groupe est attaqué par les chasseurs de la Familia d'Icélos, ce qui a pour conséquence de rendre l'ensemble des Xenoi hors d'eux et qui les conduit à attaquer et saccager la ville de Rivira, située au niveau 18.



Les choses se corsent donc pour les Xenoi dont l'existence risque d'être révélée au grand jour, mais également pour Bell qui va se retrouver pris entre deux feux et va devoir choisir son camp.



Si dans ce tome, Hestia et sa Familia sont légèrement mis de côté au profit de Bell et des Xenoi, d'autre Familias sont elles plutôt mises en avant. Je pense notamment à celle de Ganesh, Loki et évidemment Icélos.

Le lecteur a également l'occasion de découvrir plus amplement les Xenoi au travers des personnages de Gross, Lido et Raignée. On suit leurs raisonnements, leurs réactions face à l'injustice qui les frappe et ce que cela implique pour eux.



Par la force des choses, Bell évolue lui aussi. Il est au centre d'un combat qui pourrait bien le dépasser et qui pourrait également faire basculer son avenir d'aventurier d'un côté ou d'un autre. Et je pense qu'il va devoir choisir rapidement.



Ce dixième tome est en effet, un cran au-dessus de ses prédécesseurs - qui sont à chaque fois un cran au-dessus des précédents, bref, vous m'avez comprise - mais il est également plus sombre et plus sanglant. On est loin des premiers tomes et de son humour potache voire graveleux.

Ici on sent que l'atmosphère change, elle devient plus lourde et plus intense, si bien qu'on sait qu'on est proche de la rupture. Cet opus fera peut-être office de tome charnière, tant les choses changent à une vitesse importante.



En bref, je suis toujours autant sous le charme de cette saga qui me fait passer par mille émotions à chaque lecture. L'auteur nous propose toujours plus de rebondissements - mais toujours cohérents - et parvient à chaque fois à rattacher son action à la mythologie (et pas seulement à la mythologie grecque).

J'ai hâte de voir ce que le prochain opus va nous proposer !
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Non mais regardez-moi cette couverture ! N'est-elle pas absolument canon ?? On est d'accord. Bon, malgré ma déception du tome précédent, je ne voulais pas rester sur une défaite, alors j'ai plongé dans cette suite et... j'ai enfin retrouvé ce qui m'avait fait aimer cette saga. Vous l'aurez compris, ce tome 9 m'a réconciliée avec l'histoire.



Ce tome 9 est assez différents des précédents, dans le sens où une toute nouvelle intrigue se joue. On suit toujours évidemment Bell et compagnie, mais l'auteur nous offre encore d'autres possibilités, menant vers de nouvelles aventures qui ne sont pas pour me déplaire. Ça redonne un coup de boost à l'histoire en général, qui commençait quand même à tourner un peu en rond.



L'arrivée de la vouivre donne de nouvelles perspectives et surtout, une nouvelle légende qui donne une aurez dimension à cette série. Difficile de trop en dire sans spoiler, mais pour ma part, j'ai adoré découvrir ce nouvel arc, qui promet de chouettes aventures et une évolution de l'histoire en elle-même, ce qui n'est pas désagréable, bien au contraire.



Quant aux personnages, même si parfois ils sont dans l'excès dans leurs réactions, j'ai apprécié les retrouver et surtout, qu'ils restent eux-mêmes. Car c'était ça que je reprochais au tome 8 : le manque de crédibilité et de normalité. Ici, on les retrouve comme on les a connus, et ça fait du bien !



​En résumé, une nouvelle aventure qui promet plein de péripéties par la suite ! Des personnages que j'ai pris plaisir à retrouver, une nouvelle intrigue qui se dessine pour encore plus de plaisir. Cette découverte redonne un coup de boost à l'histoire, qui commençait à tourner en rond. Je suis très curieuse de découvrir le tome 10 et de voir ce que nous réserve l'auteur...
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Un peu de repos, quelques rencontres et confessions, et un bon gros boss à défaire. Du classique, mais toujours aussi sympathique et efficace.
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DanMachi – La Légende des Familias est un ingénieux mélange d’aventure, d’action et de comédie, le tout agrémenté d’un soupçon de folie. Habillement mise en scène par les dessins soignés et expressifs de Kunieda, cette épopée mythologique atypique nous emmène ainsi dans un dédale infernal où la vie ne tient qu’à un fil.
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Déjà 10 volumes dans cette série géniale et aucun n’est en dessous des autres, un miracle quand il s’agit de séries longues ! Ce 10e tome ne fait pas exception à la règle…



Alors que Bell avait découvert les Xenoi et leur avait laissé Wyne, la jeune Vouivre qu’il avait trouvé, il n’arrive pas à l’oublier. De leur côté, les Xenoi ne supportent plus les chasseurs qui les tuent ou les torturent avant de les vendre. La révolte gronde et Bell doit choisir un camp.



J’ai tout simplement adoré cet opus. Comme avec les autres, l’auteur sait se renouveler. A chaque fin de tome je me dis qu’il a tout dit, et à chaque fois je me fais surprendre par la suite. Je suis d’autant plus heureuse que dans celui-ci on revient sur les mystérieuses origines de Bell et j’ai hâte de voir ce qui adviendra par la suite, et comment il vivra avec les conséquences de ses choix.



C’est un opus plus sombre et bien plus sanglant que les autres, loin de l’humour porté sur le corps féminin des premiers tomes. On sent vraiment que Bell a grandi, ainsi que les autres personnages. Il s’affirme et se maîtrise, il n’est plus le jeune garçon qui rougissait dès qu’une femme lui parlait. Il devient leader et ça donne une toute autre ampleur au personnage. J’ai été un poil déçue de ne pas voir plus les autres personnages, mais étant donné que l’histoire se concentre sur les Xenoi et sur le choix de notre héros, c’est compréhensible, j’espère juste les revoir plus par la suite.



En revanche, j’ai adoré en apprendre plus sur Daedalus et sur la Cité Labyrinthe, préparez-vous à être soufflés par les révélations de ce dixième volume car c’est énorme ! La mythologie se complexifie au fur et à mesure, on continue de voir les inspirations des différentes mythologies du monde et je suis soufflée par la manière ingénieuse dont elles sont combinées. C’est passionnant et il est impossible de ne pas vouloir en savoir plus ! Vivement la suite…
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J’ai adoré chacun des 9 premiers tomes de DanMachi, certains étaient même des coups de cœur. C’est une saga que j’apprécie particulièrement, c’est pour cela que je suis triste de constater que je n’ai pas accroché à ce dixième tome.



La première chose à laquelle je n’ai pas adhérée, c’est les changements de narrateurs. L’auteur nous a habitué aux chapitres à la première personne avec le héros Bell. Plus de la moitié des chapitres de ce tome 10 sont racontés par d’autres personnages avec un narrateur omniscient. Quand un personnage a de nouvelles informations, d’autres les déduisent comme par magie pour faire avancer l’histoire. J’ai trouvé que l’auteur est tombé dans une sorte de facilité.



La deuxième chose c’est le trop grand nombre de personnages. L’auteur lui-même l’atteste dans sa postface, c’est compliqué d’avoir autant de personnages. Je ne me prétends pas donner des conseils à un auteur reconnu mais au lieu d’avoir des micro-chapitres sur absolument tous les personnages, pour montrer qu’ils ne vont pas se mêler de l’intrigue, autant ne pas les voir du tout. Beaucoup de personnages se ressemblent et ont la même fonction. On ne se perd pas grâce au recap des persos en début de volume, mais cela alourdit le récit.



La dernière chose qui m’a laissé perplexe, c’est l’histoire, le principal intérêt du livre. D’habitude, je suis conquis par le style jeu vidéo role play de la série. Ici on a perdu ce côté, on retrouve Bell confronté à deux choix. C’est la première fois qu’on voit le héros tiraillé entre deux possibilités complètement différentes et lourdes de conséquences. Bien sur on devine facilement quel choix il va faire et c’est dommage. Nous avons peu de surprises, on connait Bell et son grand cœur.



Malgré ces quelques points négatifs, j’ai quand même lu ce dixième tome avec intérêt. J’aime toujours autant le héros et sa montée en puissance. Le livre se lit très vite et ne perd pas de temps en sous intrigue inutile. Ce tome qui clôture l’arc Xenos marque un tournant dans l’histoire de DanMachi et j’ai bon espoir que la suite sorte de l’ordinaire. Je prends ce tome 10 comme un tome transitoire indispensable pour la suite de la saga.



Un tome 10 assez transitoire, avec quelques points négatifs mais qui promet une suite intéressante.
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Lors de ma dernière chronique, j'émettais la supposition que l'auteur nous proposait une histoire plus posée afin de mieux nous surprendre par la suite. Force est de constater que j'avais raison, puisque ce tome 9 chamboule (presque) toutes nos connaissances du Donjon et de la Guilde en rebattant les cartes que nous avions déjà en main.



En effet, lors d'une mission au niveau 19 du Donjon, Bell se retrouve confronter à une créature qu'il n'avait encore jamais vue: une Vouivre.

Cependant, celle-ci est tout à fait singulière, puisque contrairement aux monstres qui peuplent le Donjon, cette Vouivre est capable de penser et de s'exprimer.



Bell et sa Familia se retrouve une fois encore au coeur des événements, puisqu'ils décident de protéger Wyne des aventuriers qui la pourchassent.

Mais cette rencontre va tout remettre en question chez eux, et plus particulièrement chez Bell qui s'interroge sur le nombre de monstres capables de réfléchir et de s'exprimer



Avec l'apparition de Wyne et des Xenoi, c'est toute la structure d'Orario que Fujino Omori a décidé d'ébranler et ce pour notre plus grand plaisir !

Les révélations qui nous sont faites dans ce tome remette énormément de choses en question et nous promettent des aventures intéressante pour la suite.



Ce neuvième roman s'écarte un peu de ce qui était fait précédemment: on s'écarte des combats épiques pour s'intéresser au peuple du Donjon et réfléchir à la manière dont les monstres sont traités. Cela amène une dimension sociale au récit et force le lecteur à s'interroger sur la manière dont lui-même traite ses semblables ainsi que celles qui sont différents de lui.

Le parallèle avec le racisme, la xénophobie et l'intolérance en général est plutôt facile à faire en l'occurence.



En conclusion, j'ai énormément apprécié ma lecture de ce tome. Même si on s'éloigne fortement de l'esprit des premiers romans, le récit gagne en profondeur et continue de nous surprendre. J'apprécie tout particulièrement le fait que l'auteur se serve de ses écrits pour obliger le lecteur à s'interroger sur la société dans laquelle il évolue. C'est subtilement amené, mais drôlement efficace.

J'ai hâte de voir ce que nous réserve la suite et je suis sûre que je ne serai pas déçue !
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Exit les histoires courtes du tome précédent, ce neuvième volume reprend une forme plus classique après cet interlude. Il y a bien quelques allusions à la guerre contre Rakia mais ce n’est pas indispensable de lire le tome 8 pour comprendre la suite de la saga.



Ce neuvième tome débute une nouvelle phase dans la série. Nous n’en avons encore que les prémisses mais on sent que cela peut tout changer pour les héros, tout remettre en question pour chacun des aventuriers d’Orario.



Petite nouveauté, ce tome ne clôture pas l’intrigue en cours, elle se terminera dans le tome suivant. C’est la première fois que l’auteur procède ainsi, et contrairement à certains de ses confrères qui agissent de la sorte, c’est réussi. Même si l’intrigue n’est pas terminée, nous n’avons pas un goût d’inachevé à la fin de celui-ci. L’histoire ne se coupe pas nette, le découpage de l’intrigue en 2 tomes est une réussite.



Concernant l’histoire en elle même, je suis ravi de retrouver Bell et ses compagnons dans l’exploration du donjon. Ils vont toujours plus bas et découvrent sans arrêt de nouvelles choses à propos du labyrinthe. L’auteur ne se repose pas sur ses lauriers et propose constamment des histoires différentes et nouvelles. Cette fois-ci avec l’apparition d’un monstre doué d’intelligence, nos héros se poseront des questions éthiques. Tuer les monstres, ce qu’ils font depuis toujours, est-il juste ?



Comme à chaque volume nous rencontrons une nouvelle famillia, encore une qui est totalement différente de ce qu’on connait. Une famillia ou le dieu n’est que l’esclave de ses membres. Ça parait tellement loufoque, mais c’est dans l’esprit du light novel. Le bon point supplémentaire du volume ce sont les quelques révélations sur un événement passé dans les tous premiers volumes qu’on pensait enterrés.



La vérité est tout autre, et quand on la regroupe avec les nouvelles informations acquises dans ce tome-ci, on comprend quel chemin prend l’auteur, et comment il avait prévu son coup depuis le début.



Un excellent tome qui fait débuter une nouvelle phase dans la saga. Une lecture toujours aussi rapide et fluide. Un régal.
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Attention, risque de spoiler sur les tomes précédents !



Juste après avoir fini le tome 8 de DanMachi – La légende des Familias de Fujino Omori, j’ai continué avec la suite que je venais justement de recevoir. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Avec ce neuvième tome, on retrouve la construction habituelle de l’histoire et c’est un tome qui change tout, jusqu’à l’idée que l’on se faisait des monstres…



L’apparition de Wyne, une jeune Vouivre dans le Donjon, persécutée de toutes parts par les humains mais aussi par les monstres, va changer bien des choses. L’histoire commence directement avec la découverte de Wyne par Bell. À nouveau Bell est fidèle à lui-même et il ne peut se résoudre à l’abandonner à son sort, il prendra la décision de lui venir en aide tout en sachant que rien ne sera plus pareil, mettant sa Familia sous haute surveillance.



Je me suis beaucoup attachée à Wyne qui est le personnage central de ce tome-ci. Elle est jeune, perdue et ne connait rien du monde qui l’entoure, sa détresse est évidente. C’est une anomalie du Donjon mais on ne peut s’empêcher de s’attacher à elle et on a envie de la protéger tout comme Bell.



Son existence chamboule tout l’ordre des choses et je ressors de cette lecture un peu confuse. Je ne peux pas dire que je n’ai pas apprécié ce tome parce ce n’est pas le cas, cependant on est loin du rythme du War Game ou encore du combat contre le Goliath noir dans le cinquième tome (qui reste mon passage préféré de tous les temps !). L’auteur met l’accent sur quelque chose qui m’a beaucoup fait réfléchir. Je me demande comment va évoluer la suite de l’histoire.



Bref, ce neuvième tome de DanMachi – La légende des Familias de Fujino Omori emmène ses lecteurs dans les profondeurs du Donjon et ses secrets. Beaucoup de choses sont dévoilées, soulevant encore plus de mystères et de craintes… L’existence de Wyne remet tout en question mais il est impossible de ne pas s’attacher à elle, Bell et le reste de la Familia d’Hestia se mettent en danger pour la protéger, je n’en attendais pas moins de leur part ! Vivement la suite !
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Attention, risque de spoiler sur les tomes précédents !



J’attends toujours le nouveau DanMachi avec grande impatience, à chaque tome je suis de plus en plus surprise par ce que l’auteur nous a concocté, on ne sait jamais ce qu’il va se passer mais on a toujours l’assurance de passer un bon moment !



Ce tome 8 est un peu différent des autres parce qu’il propose 6 histoires, chacune centrée sur un personnage en particulier tout en gardant un fil rouge, qui intervient de près ou de loin dans le récit, avec la guerre qui fait rage à l’extérieur des murs de la ville. Je dois avouer que j’avais quelques appréhensions en le commençant car je savais que l’auteur avait fait le choix de se concentrer plutôt sur les sentiments amoureux des personnages, laissant un peu la partie bataille et action de côté. Finalement, j’ai beaucoup apprécié découvrir cet aspect là !



J’ai aimé en apprendre plus sur les protagonistes qui sont à l’honneur dans ces différentes histoires. Welf est un de ceux que j’apprécie le plus donc savoir ce qu’il pense, ses ambitions et ses sentiments m’a bien plu. Bell n’est pas le héros que l’on suit ici mais il est présent malgré tout et il m’a encore beaucoup touchée. Depuis le début, il ne cesse d’évoluer tout en gardant son caractère qui fait de lui quelqu’un de doux et innocent sans que ce soit négatif. Je l’apprécie beaucoup pour cela !



Ces différentes histoires courtes m’ont fait beaucoup réfléchir, elles abordent des thèmes et des aspects de la ville d’Orario qui ne sont pas des plus beaux. Et on se rend encore plus compte que certains dieux sont bons tandis que d’autres ne sont là que pour se divertir sans se soucier des conséquences. A la fin de ma lecture, je ne peux que me sentir un peu attristée pour les aventuriers qui aiment leurs dieux, que ce soit réciproque ou non, car pour les dieux ça ne dure qu’un battement de cils…



Bref, ce huitième tome de DanMachi – La légende des Familias de Fujino Omori est un peu particulier mais je l’ai beaucoup aimé. L’auteur prend le temps de développer ses autres personnages et leurs histoires tout en gardant un bon rythme et une certaine tension avec l’armée de Rakia qui est aux portes d’Orario. Ce tome permet aux lecteurs de souffler un peu avant de mieux repartir pour la suite !
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A la sortie de chaque nouveau tome de DanMachi, je suis comme un enfant le jour de Noël. Je n'y peux rien, je voue un amour sans borne à Bell et à ses amis. Si le premier tome ne m'avait pas totalement convaincue, notamment à cause du caractère immature de Bell, il faut bien avouer que depuis ce dernier s'est grandement amélioré. Et moi-même je me suis habituée à ses petites excentricités.



C'est donc avec le sentiment de retrouver un ami très cher que je me suis plongée dans ce huitième tome. déjà !

Celui-ci se présente d'ailleurs sous une structure différente. En effet, nous nous retrouvons plutôt face à une série de nouvelles plutôt qu'à une histoire suivie, comme nous en avons pris l'habitude avec ses prédécesseurs. Avec tout de même en fil rouge l'attaque de la cité d'Orario par le royaume de Rakia.



Par ce procédé, j'ai eu l'impression que Fujino Omori voulait donner à ses lecteurs la possibilité de souffler et de profiter de quelques instants de répit avant de se lancer dans la suite des aventures des Familias. Nul doute que l'auteur cache encore plus d'un tour dans son sac et que nous - pauvres lecteurs - allons encore en faire les frais dans les tomes à venir.



Puisque la structure de l'histoire se retrouve modifiée par l'apparition de ces nouvelles, ce nouveau tome est bien plus posé que les précédents. Certes, chaque histoire recèle une partie de danger et de mystère, mais par rapport à ce que nous avons déjà affronté avant, cela reste anecdotique.



Cependant, la guerre opposant Rakia à Orario - même si elle n'a de guerre que le nom - nous permet de nous pencher plus avant sur certains personnages secondaires tels que Eina et Syl, mais également sur Welf et Mikoto, qui ont encore énormément de choses à nous apprendre.



Toujours avec cette légèreté si particulière à cet univers, nous naviguons entre les personnages et leur histoire personnelle, tout en suivant de loin l'affrontement se déroulant à l'extérieur de la ville. Mais tout ceci est tellement bien ficelé qu'on ne voit pas passer les pages et que l'on se retrouve rapidement à la fin du livre.



En conclusion, même si ce tome proposait moins d'adrénaline que les autres, il n'en reste pas moins très intéressant et agréable à lire. Cette petite pause était la bienvenue et j'ai hâte de pouvoir découvrir la suite, qui j'en suis sûre, sera rocambolesque.
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Avec un tel synopsis, je m’attendais à un affrontement dantesque entre Orario et Rakia mais finalement ce sujet est traité en toile de fond à travers 6 histoires courtes. Cette « guerre » fait office de fil rouge, un lien entre chacune des histoires. Ce huitième tome fait office d’interlude, l’auteur parle de la fin de la seconde partie du récit. C‘est donc une fin tout en douceur qui attend le lecteur avec ces histoires centrées sur Hestia, Syl, Eina, Lili, Mikoto et Welf. Toute la familia du héros ainsi que sa conseillère à la guilde. Le second point commun entre les histoires c’est Bell bien sûr. C’est toujours le personnage principal.



Ces histoires de cœurs ont un petit côté mignon dans le sens où les personnages sont soit timides soit audacieux. Il y a sans arrêt des situations cocasses ou les quiproquos qui sont de mise. J’adhère à ces éléments alors que je ne suis pas du genre à aimer d’habitude parce que je ne prends pas ces amourettes au sérieux. Même si dans ce tome-ci c’est le point principal, pour moi, DanMachi reste un light novel d’aventure.



Un interlude composé de 6 histoires courtes centrées sur les amourettes entre les personnages. Agréable et rapide à lire.
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