« C’était l’occupation avec tout ce qu’elle comporte d’humiliation et de bénéfices aussi pour le pauvre peuple indiscipliné, endetté, miné par les luttes intestines que nous représentions. (…) Puis ce fut la révolte : le drame de Marchaterre, la grève des étudiants et enfin en 1934, la désoccupation. »