Jean Servein ne se départ jamais de son infinie courtoisie, mais on devine en lui une dévotion possessive envers sa femme qui nous tient fermement à distance.
Il veille sur elle comme sur un trésor convoité par des mercenaires, qu'il aurait pour mission d'amener à bon port.
Notre curiosité bute en vain, refoulée sans trêve, sur son souriant mystère.