À peine installée dans ma voiture, le bip de la porte du garage entre deux doigts, ma mère essaie de me joindre. Évidemment, mon kit mains libres s’est enroulé autour de mon trousseau de clés au fond de mon sac…
Une citation choisie par Sophie Lim:
"J'ai choisi un passage du chapitre 5, qui permet d'esquisser le caractère d'Eyla. J'apprécie également la comparaison de l'autrice :
« La jeune fille s’empressa de secouer Suzie et Louis ! Rien à faire ! Ils n’étaient plus que des pantins récitant des paroles dans une langue étrangère. Une langue que ne comprenait pas Eyla. Les autres ne réagissaient pas plus qu’eux. » "
Retrouvez sa chronique ici:
https://www.sophielimauteur.com/2023/07/avis-lecture-malediction-sholva-maritza-jaillet.html?lr=1
Dans cet engrenage depuis la naissance, toutes adhéraient à ces traditions sans se poser de questions.
— D’après mon père, dit-il avant de se réhydrater avec sa gourde, il y a plusieurs espèces de sirènes. Elles gardent tout de même des traits caractéristiques : le buste ressemblant à celui d’une femme avec des petits bras, une longue chevelure, un visage angélique… Mais ce ne sont pas des anges. Elles portent une queue de poisson dont elles recouvrent chaque écaille d’un poison mortel. Nul homme ne doit les approcher sous peine de mourir.
"Dans la verrerie d’Orcgrime, la jeune Morgane Di Vitris s’activait sur la chaîne de recyclage du verre depuis l’aube. Elle triait les bouteilles intactes de celles qui demeuraient cassées ou fendues. C’était long et fastidieux, mais moins pénible que de travailler juste à côté des fours ou de manipuler des outils. Après six heures de travail, elle s’octroya enfin une pause pour manger et regarder son téléphone. Elle avait manqué un appel de sa meilleure amie, Céline. En la rappelant, elle se souvint du SMS envoyé par la jeune femme la veille qui lui demandait confirmation pour un événement particulier. "
Lu sur: https://fr.calameo.com/read/004952318336e2dfec039
page11.
Au bar, le capitaine vient payer l’addition avec une centaine de pièces d’or, mais le tavernier, sympathique et de bonne humeur, lui fait un prix : au lieu de cent cinq pièces d’or, il ne lui en prend que quatre-vingt-dix.
Combien de pièces le capitaine doit-il rendre à ses camarades ?
Je meurs d’envie d’être à ce soir, néanmoins, pas autant que ma mère qui m’appelle depuis le rez-de-chaussée. Oh, Satan ! Je suis arrivée hier au manoir et je n’ai pas eu une minute à moi. Il n’est que huit heures du matin et je suis censée être « en vacances». Terme inconnu dans le dictionnaire de ma mère !
Cette nouvelle se situe chronologiquement avant les événements qui se déroulent dans l’ouvrage « Rattrape-moi ! », édité chez Livresque Éditions. À la suite des catastrophes climatiques, la France a été morcelée et une nouvelle carte dessinée.