Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Hueytown, Alabama , le 21/03/1962
Né(e) à : Hueytown, Alabama , le 21/03/1962
Biographie :
Mark Waid est un scénariste de comics.
Il est entré dans le milieu dans les années 80 comme responsable éditorial et journaliste de "Amazing Heroes", le magazine pour fans de comic books de Fantagraphics Books. Waid fut vite engagé comme responsable éditorial chez DC Comics ou il travailla sur des titres tels que Secret Origins et Legion of Super-Heroes.
En 1991, Waid quitta le travail éditorial pour des travaux de scénariste en indépendant. Son premier travail fut pour l'éphémère ligne Impact Comics de DC ou il écrivit "The Comet" et co-écrivit "Legend of the Shield".
Cependant ce fut en 1992 que Waid commença la tâche qui lui valut une reconnaissance plus large dans l'industrie du comics, quand il fut engagé pour écrire "Flash" par Brian Augustyn. La série s'affirma comme un titre-phare de DC et, dans son engagement de 8 ans, Waid et les artistes qui illustrèrent ses histoires sortirent "Flash" de l'ombre de ses prédécesseurs et augmentèrent ses pouvoirs.
Après avoir redéfini le personnage de Flash et de son univers, il travaille avec Alex Ross sur ce qui reste l'une de ses œuvres majeures : "Kingdom Come" (1996). Suivront de longues périodes chez Marvel et DC Comics, les plus gros éditeurs US, sur des séries telles que "X-Men", "Captain America", "Kazar" et plus récemment "Fantastic Four" et "Superman : Birthright". Chez CrossGen, il créée également l'excellente série "Ruse", en compagnie de Butch Guice.
Début 2005, c'est aux côtés de Marc Silvestri, le fondateur du studio Top Cow qu'il lance : "Hunter Killer". En 2009, il scénarise la série "Irrécupérable" dont la fin de parution est en 2012. En 2019, il rejoint le label H1, propriété des éditions Humanoids, en tant que directeur du développement créatif.
Il est lauréat du Prix Eisner de la meilleure mini-série 1997 pour "Kingdom Come" (avec Alex Ross).
+ Voir plusMark Waid est un scénariste de comics.
Il est entré dans le milieu dans les années 80 comme responsable éditorial et journaliste de "Amazing Heroes", le magazine pour fans de comic books de Fantagraphics Books. Waid fut vite engagé comme responsable éditorial chez DC Comics ou il travailla sur des titres tels que Secret Origins et Legion of Super-Heroes.
En 1991, Waid quitta le travail éditorial pour des travaux de scénariste en indépendant. Son premier travail fut pour l'éphémère ligne Impact Comics de DC ou il écrivit "The Comet" et co-écrivit "Legend of the Shield".
Cependant ce fut en 1992 que Waid commença la tâche qui lui valut une reconnaissance plus large dans l'industrie du comics, quand il fut engagé pour écrire "Flash" par Brian Augustyn. La série s'affirma comme un titre-phare de DC et, dans son engagement de 8 ans, Waid et les artistes qui illustrèrent ses histoires sortirent "Flash" de l'ombre de ses prédécesseurs et augmentèrent ses pouvoirs.
Après avoir redéfini le personnage de Flash et de son univers, il travaille avec Alex Ross sur ce qui reste l'une de ses œuvres majeures : "Kingdom Come" (1996). Suivront de longues périodes chez Marvel et DC Comics, les plus gros éditeurs US, sur des séries telles que "X-Men", "Captain America", "Kazar" et plus récemment "Fantastic Four" et "Superman : Birthright". Chez CrossGen, il créée également l'excellente série "Ruse", en compagnie de Butch Guice.
Début 2005, c'est aux côtés de Marc Silvestri, le fondateur du studio Top Cow qu'il lance : "Hunter Killer". En 2009, il scénarise la série "Irrécupérable" dont la fin de parution est en 2012. En 2019, il rejoint le label H1, propriété des éditions Humanoids, en tant que directeur du développement créatif.
Il est lauréat du Prix Eisner de la meilleure mini-série 1997 pour "Kingdom Come" (avec Alex Ross).
Source : Wikipedia
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Sois toi-même et le monde n’en sera que meilleur.
[Orion] Je pensais que j'aurais transformé Apokolips en renversant le règne despotique de Darkseid.
Imagine mon horreur quand j'ai appris que, parmi les rampants qui vivent sous le talon de Darkseid depuis les premiers temps d'Apokolips, la liberté est aussi paralysante que le fascisme.
Ils se sont empressés d'élire un dirigeant. Ce fut moi.
Voilà ma récompense.
Imagine mon horreur quand j'ai appris que, parmi les rampants qui vivent sous le talon de Darkseid depuis les premiers temps d'Apokolips, la liberté est aussi paralysante que le fascisme.
Ils se sont empressés d'élire un dirigeant. Ce fut moi.
Voilà ma récompense.
Je ne prétends pas être une grande force d'innovation dans les comics, et quand je brise les lois dans l'espoir de séduire le lectorat, j'échoue probablement aussi souvent que je réussis. Quoi qu'il en soit, je suis invariablement attiré par le challenge de "l'impossible".
Personne ne devient "méchant" du jour au lendemain. On ne devient pas "mauvais" en actionnant un simple commutateur. La voie de l'ombre est pavée de trahisons, de pertes, de déceptions et de faiblesses.
De nos jours, on ne peut pas débouler ici et être un super-ami. Nous sommes très méfiants.
Le gouvernement… la publicité… les médias, eh oui… on nous manipule 24 heures sur 24, et le pire, c’est que nous le savons, nous affirmons nous défendre, mais la plupart d’entre nous n’ont pas l’énergie de lutter à longueur de temps.
Si on nous épuise assez, la leçon qu’on finira par en tirer, c’est qu’il est plus facile et plus sûr d’être cynique que de faire confiance à quelqu'un.
Le gouvernement… la publicité… les médias, eh oui… on nous manipule 24 heures sur 24, et le pire, c’est que nous le savons, nous affirmons nous défendre, mais la plupart d’entre nous n’ont pas l’énergie de lutter à longueur de temps.
Si on nous épuise assez, la leçon qu’on finira par en tirer, c’est qu’il est plus facile et plus sûr d’être cynique que de faire confiance à quelqu'un.
- Ce que je sais, c’est que Simon Archard a toujours le cœur aussi sec quoi que je fasse. C’est un indécrottable cérébral ! Son cœur ne bat que pour alimenter son cerveau en sang !
Tout le monde est nerveux, agité, à sursauter au moindre bruit. A lutter pour rester calme.
- Il est important que vous vous sentiez en sécurité. C’est pourquoi chaque pièce a été équipée d’un kit d’urgence pour vous protéger. Voyons ce qui s’y trouve. Il y a une cale en bois pour la porte. Il y a aussi un marteau. Et du scotch.
- Il est important que vous vous sentiez en sécurité. C’est pourquoi chaque pièce a été équipée d’un kit d’urgence pour vous protéger. Voyons ce qui s’y trouve. Il y a une cale en bois pour la porte. Il y a aussi un marteau. Et du scotch.
Et vous espérez un sanctuaire, vous les immigrants? L'Amérique n'est plus aussi grande qu'avant, bon Dieu! Il n'y a même plus de Kansas.
On ne peut pas vous loger! On ne peut même pas vous nourrir! Et pourtant, vous continuez à réclamer!
Eh bien, c'est fini!
Aujourd'hui, l'Americommando déclare la guerre aux réfugiés!
On ne peut pas vous loger! On ne peut même pas vous nourrir! Et pourtant, vous continuez à réclamer!
Eh bien, c'est fini!
Aujourd'hui, l'Americommando déclare la guerre aux réfugiés!
[Ra's al Ghul] A cause de la stupidité humaine, le tigre de Java n'est plus. Combien de temps avant qu'il en soit de même pour le papillon palos verde ? Le rhino noir ou l'antilope de Saigo ?
[Talia] Vous avez tant fait pour eux, père. Combien d'espèces s'épanouissent grâce à vos efforts ?
[Ra's al Ghul] Ils ne "s'épanouissent" pas en captivité, Talia. Et les seules choses qui s'épanouissent en dehors de ces murs, ce sont les six milliards de parasites inconscients qui continuent de ravager les ressources de la planète.
[Talia] Vous avez tant fait pour eux, père. Combien d'espèces s'épanouissent grâce à vos efforts ?
[Ra's al Ghul] Ils ne "s'épanouissent" pas en captivité, Talia. Et les seules choses qui s'épanouissent en dehors de ces murs, ce sont les six milliards de parasites inconscients qui continuent de ravager les ressources de la planète.
- Je m’appelle Emma Bishop. Pour certains, je suis la partenaire de Simon Archard, le plus grand détective du monde. Pour d’autres, je ne suis que son assistante. Pour un seul autre, en réalité. Simon bien entendu. Ce même Simon qui m’amène à Wainscott Manor à une fête en l’honneur de nobles visiteurs étrangers… dans l’éventualité où mes talents linguistiques se révéleraient utiles. En dépit de toutes les connaissances accumulées dans son cerveau, il se refuse à apprendre les langues. Selon lui, l’art de la communication se pratique à un niveau non verbal. C’est faux. C’est une querelle difficile à remporter, étant donné que de manière général, les gens rechignent à lui parler. L’importance de Simon dans la société est due sa réputation plus qu’à son charme. Je suis certaine qu’il se croit aimable, mais aussi nombreux que soient ses talents l’art de la conversation n’en fait pas partie.
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