Lecteur, joie, salut et santé, disaient autrefois nos bon aïeux après avoir fini leur conte. Pourquoi craindre d'imiter leur politesse et leur franchise ? Je dirai donc comme eux : lecteur, salut, richesse et plaisir ; si mes bavardages t'en ont donné, place moi dans un joli coin de ton cabinet ; si je t'ai ennuyé, reçois mes excuses et jette-moi au feu.